Journée d'actions du 29 janvier




Assemblée générale du comité villeurbannais du Souvenir français dimanche 25 janvier 2009

Avec Michel Barthez Vice président délégué du comité villeurbannais du Souvenir français

Jean-François Copé invité de RTL (28/01/09)

Jean-François Copé invité de RTL (28/01/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

Le patron des députés UMP à l'Assemblée nationale répondait aux questions de Jean-Michel Aphatie mardi matin. Jean-François Copé est revenu sur la motion de censure présentée par les députés socialistes à l'Assemblée nationale rejetée par la majorité : "J'entends beaucoup d'inquiétude (de la part des Français) et comment d'ailleurs imaginer les choses autrement. Nous sommes en train d'affronter une crise extrêmement grave et pour laquelle notre Président ne ménage pas sa peine. [...] Notre travail est de prendre des décisions urgentes." Il a également parlé de la grève nationale du jeudi 29 janvier, en réponse à la phrase de Nicolas Sarkozy "Quand il y a une grève en France, personne ne s'en aperçoit" : "Demain, on va s'en apercevoir !

Soirée Galette des rois de l'UMP Villeurbanne du 22 janvier 2009

Henry Chabert, Martine Maurice, Emmanuelle Haziza et Michel Forissier





Avec Phillippe Meunier, Jean-Paul Regnault et Michel Forissier




Soirée Galette des rois de l'UMP Villeurbanne du 22 janvier 2009....suite

Martine Maurice, Laure Dagorne, Jean-Paul Regnault, Laurent Vialaron et Michel Forissier
Jean-Paul Regnault et Jean-Claude Lefranc

Les jeunes de Villeurbanne : Tarek Terki , Emmanuelle Haziza et Jérémy Testa


Gérard Maulet, Patrick Desmarais et Jocelyn Bouilhol




Soirée Galette des rois de l'UMP Villeurbanne du 22 janvier 2009....fin


Micheline Montorier...




Flavien Bénazet....



Et Denise Rousset




Conseil national de l'UMP samedi 24 janvier 2009 à la Mutualité à Paris

Avec Jean-Pierre Raffarin

Avec Jean Sarkozy

Avec Jean-Louis Borloo



Conseil national de l'UMP samedi 24 janvier 2009 à la Mutualité à Paris - suite -

Avec Valérie Pécresse ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche

Avec Xavier Bertrand secrétaire général de l'UMP

Avec Yves Jégo secrétaire d'Etat à l'outre mer


Un plan pour sauver la presse


Un plan pour sauver la presse
Vidéo envoyée par publicsenat

Discours de Nicolas Sarkozy sur PUBLIC SENAT à la suite de la remise du Livre vert des Etats généraux de la presse écrite.

Nicolas Sarkozy a annoncé le 23 janvier à l’Elysée un plan de soutien de l’Etat en faveur de la presse écrite, à charge pour les acteurs de réformer en profondeur le secteur.
Clôturant les Etats généraux de la presse qu’il avait lancés à l’automne, le chef de l’Etat a détaillé les difficultés du secteur : "La presse écrite était en crise avant la crise", a insisté le président de la République, décrivant un "contexte économique dégradé" et une nécessaire adaptation à l’ère numérique.
La plupart des mesures préconisées par le chef de l’Etat figurent parmi les 90 recommandations du Livre vert des Etats généraux de la presse qui avaient pour objectif d’établir un diagnostic partagé de la situation de la presse écrite française, d’analyser ses points de blocage et d’identifier, sur la base de ce diagnostic, les solutions à mettre en oeuvre pour l’accompagner dans le tournant stratégique des années 2000. Les états généraux ont réuni plus de 150 représentants de la profession (éditeurs, journalistes, ouvriers du Livre...).
Des mesures de soutien économique
Le chef de l’Etat a annoncé plusieurs mesures de soutien : le report d’un an de l’augmentation des tarifs postaux (coût : 24 millions d’euros) ; une nette augmentation des dépenses de communication de l’Etat ; un soutien aux marchands de journaux (60 millions d’euros) ; un soutien au portage à domicile (80 millions d’euros au total, lire ci-dessous).
Offrir un abonnement gratuit à un quotidien de son choix à chaque jeune de 18 ans
Chaque jeune Français bénéficiera d’un abonnement gratuit à un quotidien de son choix pendant l’année de ses 18 ans, à titre expérimental. Le journal sera payé par l’éditeur, le transport par l’Etat.
"L’habitude de lire la presse se prend très jeune", a fait valoir Nicolas Sarkozy.
Poursuivre le dialogue social
Dans son discours, le chef de l’Etat a mis en avant l’importance du dialogue social. Il a engagé les partenaires sociaux à le poursuivre, sur plusieurs points, par exemple les négociations dans les imprimeries ou l’adoption d’une charte de déontologie.
Nicolas Sarkozy s’est ainsi déclaré satisfait de la volonté des partenaires sociaux de la presse à négocier "un nouveau contrat social" dans les imprimeries, avec pour objectif de réduire de 30 à 40 % le coût de l’impression.
L’Etat "désignera si nécessaire une personnalité chargée d’accompagner la négociation au nom de l’Etat". Ce dernier "contribuera à l’investissement requis" à condition qu’"un plan national de rationalisation et de mutualisation des imprimeries soit mis en oeuvre".
Créer un statut d’éditeur de presse en ligne
Le président de la République a annoncé par ailleurs la création d’un statut d’éditeur de presse en ligne et l’augmentation de l’aide de l’Etat au développement des journaux sur internet. Il a annoncé également que le régime des droits d’auteur des journalistes serait adapté à l’ère numérique : le remplacement d’un droit lié à la publication dans un support par un droit lié à un temps d’exploitation (24 heures). Christine Albanel proposera aux législateurs cette solution dans les meilleurs délais.
Aides au portage et aux marchands de journaux
Les marchands de journaux "bénéficieront d’une mesure de soutien correspondant à une exonération de 30 % de leurs cotisations sociales personnelles, soit en moyenne 4 000 euros par exploitant" par an, a déclaré Nicolas Sarkozy.
Le chef de l’Etat a précisé qu’il s’agissait d’une mesure "temporaire", dans l’attente de mesures du secteur pour améliorer leurs rémunérations.
L’aide directe de l’Etat au portage des journaux à domicile passera de 8 à 70 millions d’euros et les charges sociales patronales des sociétés de portage seront supprimées "pour tous les porteurs au niveau du Smic", a-t-il précisé. Ces mesures d’aide au portage seront mises en oeuvre dès le mois prochain.
Expérimenter des formes alternatives de distribution
Nicolas Sarkozy a retenu l’idée des Etats généraux "d’expérimenter pendant six mois, mais sans toucher à la loi Bichet (de 1947)*" des formes alternatives de distribution, par exemple la distribution des quotidiens nationaux par le réseau de la presse régionale ou la distribution par les éditeurs eux-mêmes de leurs titres dans des enseignes spécialisées.
Remédier au manque d’investissements
La législation anti-concentration ne sera en revanche pas modifiée, sauf sur le point particulier visant à permettre aux investisseurs de l’extérieur de l’Union européenne de posséder plus de 20 % d’un titre français.
"Personne ne peut se résigner au manque criant d’investisssements au sein de la presse, du fait de la sous-capitalisation des entreprises et de l’absence de grands groupes. Ce manque d’investissements est une des causes majeures de la crise de la presse", a estimé Nicolas Sarkozy qui souhaite "améliorer la rentabilité" du secteur.
Pour "renforcer" les fonds propres des entreprises de presse, il a annoncé l’extension de la loi Sapin de 1993, relative aux procédures d’achat d’espaces publicitaires, "à tout le hors-média et à toute la publicité qui transite sur internet, afin de mettre la presse en situation égale dans l’accès au marché publicitaire".
"Nous allons inciter les particuliers à faire des dons aux entreprises de presse", via des exonérations fiscales qui "permettront de défiscaliser les deux tiers de l’argent" investi, a-t-il ajouté.
* La loi Bichet du 2 avril 1947 concerne la distribution de la presse écrite. Elle édicte les principes de la liberté de choix de l’éditeur, de l’égalité des éditeurs face au système de distribution et de la solidarité entre éditeurs-coopérateurs.

Article du Progrès du 23 janvier 2009


Nomination au gouvernement

Sur la proposition du Premier ministre, le Président de la République a nommé Mme Chantal JOUANNO secrétaire d’État chargée de l’écologie, auprès du ministre d’État, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire.

Réunion de la commission Education, famille, sport et culture du conseil municipal mercredi 21 janvier 2009


Christine Lagarde invitée de RTL (21/01/09)

Christine Lagarde invitée de RTL (21/01/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

La ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi répondait aux questions de Jean-Michel Aphatie mercredi matin. Christine Lagarde a jugé "insensé" qu'avec le soutien financier de l'Etat les patrons des constructeurs automobiles se versent des "superbonus". Elle a, par ailleurs, déclaré que les banques qui bénéficieront de la deuxième tranche d'aides de l'Etat seront les six mêmes banques que celles qui avaient bénéficié de la première tranche.

Réunion de l'atelier thématique Education de l'UMP Villeurbanne

Réunion de l'atelier thématique
Education
lundi 26 janvier 2009
à 19h30
à la permanence UMP de Villeurbanne 36 rue Racine

Faut-il avoir peur de l'hôpital ?

Faut-il avoir peur de l'hôpital ?
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Faut-il avoir peur de l'hôpital ?
L'actualité récente relance la polémique sur la situation de l'hôpital dans notre pays. De quoi souffre l'hôpital français ? Problème de moyens ou d'organisation ? Faut-il avoir peur de l'hôpital ? Le débat est ouvert.
Donnez votre avis sur http://www.umpnet.org/controverses/

Mobilisation pour la paix à Charm el-Cheikh

Nicolas Sarkozy a coprésidé, dimanche avec Hosni Moubarak (à droite), le sommet de Charm el-Cheikh, où il a évoqué la perspective d'une «grande conférence permettant de jeter les bases d'une paix durable». Crédits photo : AFP
Nicolas Sarkozy a annoncé plusieurs initiatives pour consolider le fragile cessez-le-feu à Gaza.
Par l' envoyé spécial du Figaro à Charm el-Cheikh, Alain Barluet
«La dernière fois que je suis venu ici, les armes parlaient encore. Aujourd'hui, on a un cessez-le-feu, certes unilatéral, mais un cessez-le-feu tout de même. Ça, c'est du concret» : dans l'avion qui le conduit à Jérusalem, Nicolas Sarkozy s'affiche plus mobilisé que jamais pour consolider la trêve, si précaire, décrétée à Gaza après vingt-deux jours de combats meurtriers. En trois semaines, cela fait trois fois que le chef de l'État se rend à Charm el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge. Cette fois, il coprésidait avec Hosni Moubarak un sommet organisé au pied levé.
Cinq Européens ont fait le voyage (Angela Merkel, Gordon Brown, José Luis Zapatero, Mirek Topolanek et Silvio Berlusconi), mais aussi le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, le roi Abdallah de Jordanie, le président turc, Abdullah Gül, et Mahmoud Abbas. La voix du chef de l'Autorité palestinienne est empreinte de gravité : «Les images de Gaza que vous voyez à la télévision sont bien en deçà de la réalité.»

L'objectif était clairement dimanche d'obtenir un engagement collectif pour affermir le cessez-le-feu et amorcer un processus vers une paix durable. «Les armes doivent se taire, mais ceci n'est que le commencement», a souligné Nicolas Sarkozy. «Il faut poursuivre et accélérer pour aboutir à la création de deux États, un État palestinien et un État israélien qui a droit à sa sécurité». C'est un véritable forcing pour la paix, une façon de conjurer la précarité de l'accalmie relative que connaît Gaza «en se donnant des perspectives», comme le dit Nicolas Sarkozy.

Surveillance des frontières
Même grevé de fortes incertitudes, un calendrier se dessine. Jeudi prochain, une délégation du Hamas reviendra au Caire pour faire le point sur les avancées du plan de paix égyptien. Début février, une conférence «sur la question humanitaire et la reconstruction» doit se tenir en Égypte. La question cruciale de la réouverture des points de passage vers Gaza sera au cœur de cette réunion. Cela pourrait être aussi l'occasion de réactiver et d'étendre la mission Eubam (European Union Border Assistance Management) qui a fonctionné jusqu'en 2007 pour la surveillance des frontières. Sans attendre, des points de passage pourraient être progressivement rouverts dans les prochains jours, espérait-on dans les rangs de la délégation française.

Mais pour cela, «il faudra restaurer la confiance», insiste Nicolas Sarkozy, et donner des gages aux Israéliens. Le chef de l'État n'a, une nouvelle fois, pas mâché ses mots pour dire que «la présence des Israéliens à Gaza n'est pas soutenable». Ehoud Olmert en a convenu, indiquant dimanche à Jérusalem que les Israéliens ont toujours eu «l'intention de quitter Gaza dès que possible». Le premier ministre britannique a, lui, déjà appelé Israël à ouvrir les points de passage avec la bande de Gaza. Avec Angela Merkel et Gordon Brown, le président français a adressé une lettre à l'Égypte pour indiquer leur «disponibilité à prendre des mesures afin de stopper le trafic d'armes» à destination du Hamas. Concrètement, des éléments navals de la Finul pourraient être utilisés pour sécuriser l'environnement maritime de la bande Gaza et prévenir la contrebande côtière.

Trois cents tunnels
Autre point très attendu par l'État hébreu, le «traitement» des 300 tunnels permettant de pénétrer à Gaza depuis l'Égypte. Des discussions techniques doivent s'ouvrir pour envisager les moyens, électromagnétiques ou satellitaires, pour neutraliser ces voies de passage. «La destruction seule n'est pas une solution car les tunnels sont rapidement reconstruits», explique-t-on du côté français. Nicolas Sarkozy a aussi évoqué la perspective d'une «grande conférence permettant de jeter les bases d'une paix durable». Plusieurs participants du sommet de Charm el-Cheikh, tels Silvio Berlusconi, Abdallah de Jordanie ou le Turc Abdullah Gül, ont fondé leurs principales attentes sur la nouvelle Administration américaine. «On ne peut pas attendre que les États-Unis aient froid pour mettre un cache-nez», répond Nicolas Sarkozy. Comme ils l'ont fait en Géorgie, les Européens ont cherché à occuper le terrain au Proche-Orient. Mais, dès mardi, Barack Obama sera investi et il a promis d'agir. «Tant mieux, lance le chef de l'État, si Obama veut changer le monde, on sera ravis…»

Aux voeux de la mairie de Villeurbanne

Avec Jérémy Testa, Emmanuelle Haziza, Patrick Desmarais, Jean-Paul Regnault, Gérard Desmoulins, Flavien Bénazet et Jean-Wilfried Martin

Voeux de Nicolas Sarkozy au corps diplomatique


Voeux de Nicolas Sarkozy au corps diplomatique
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Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a estimé le 16 janvier dans ses voeux au corps diplomatique étranger qu’Israël "ne renforce pas sa sécurité" par son intervention militaire à Gaza et a de nouveau appelé à l’arrêt des combats.
Gaza

"Cette intervention ne renforce pas la sécurité d’Israël", a déclaré le chef de l’Etat. "La crise de Gaza, c’est une tragédie humanitaire, inutile et sanglante. Cette tragédie doit s’arrêter", a-t-il ajouté.
Le chef de l’Etat a dit attendre du Premier ministre israélien, Ehud Olmert, qu’il "prenne" des "risques" pour la paix. "La France a condamné l’entrée des soldats israéliens dans Gaza. Ce ne fut pas une décision facile à prendre", a-t-il dit rappelant l’"attachement de la France et le sien en particulier à la sécurité non négociable" de l’Etat hébreu.
"Dans le même esprit la France a condamné la stratégie du Hamas d’envoyer des roquettes" sur Israël, a-t-il affirmé. "A l’arrivée", a-t-il estimé, il y a d’un côté "un gouvernement israélien accusé partout dans le monde alors qu’Israël a besoin de sa solidarité" et de l’autre "un monde arabe divisé et des dirigeants modérés fragilisés".
"La France fera tout pour aider à la paix dans cette région du monde", a-t-il ajouté. "La France est sincère dans son amitié avec Israël" et "elle est sincère dans son soutien à la cause palestinienne de revendication d’un Etat".
Iran : le programme nucléaire iranien "n’a aucune finalité civile"
Le programme d’enrichissement nucléaire iranien "n’a aucune finalité civile", a affirmé Nicolas Sarkozy. "L’AIEA souligne les progrès rapides et préoccupants du programme d’enrichissement iranien, dont chacun sait qu’il n’a aucune finalité civile." "Le moment approche où un choix devra être fait par les dirigeants iraniens : soit ils provoquent une grave confrontation avec la communauté internationale, soit, ce que la France souhaite, on arrive enfin à une solution dans la négociation engagée depuis, tenez-vous bien, cinq ans", a-t-il ajouté.
Le chef de l’Etat s’est dit persuadé de la volonté des six puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) négociant avec Téhéran d’avoir "un dialogue ouvert et direct". "La recherche d’un accord est possible", a insisté Nicolas Sarkozy, ce sont les dirigeants iraniens qui doivent maintenant choisir".
Un rapport parlementaire français publié le mois dernier a conclu que les visées militaires du programme nucléaire iranien ne faisaient "plus de doute", ajoutant toutefois que les possibilités de négociations avec le régime de Téhéran n’étaient pas épuisées.
Gaz : la "crédibilité" de l’Ukraine et de la Russie sont en jeu
La "crédibilité" de l’Ukraine et de la Russie sont en jeu dans le conflit gazier opposant ces deux pays, a affirmé le Président.
"L’Ukraine (...) ne doit pas prendre en otage un conflit énergétique qui concerne des millions d’Européens qui attendent mieux. C’est la crédibilité de l’Ukraine qui est en jeu", a-t-il déclaré, tout en disant "comprendre les rivalités politiques".
"Quant à la Russie, a-t-il poursuivi, je suis de ceux qui pensent que l’Europe doit avoir un accord structurel, stratégique, de long terme avec les Russes (...) Mais la Russie doit aussi faire le clair. Quand on fournit les deux tiers du gaz dont l’Europe a besoin, on respecte ses clients, comme les clients doivent respecter le fournisseur."
"C’est un problème de respectabilité et d’image. Je suis persuadé qu’un dialogue à haut niveau permettra de trouver un accord, mais l’Europe doit rester unie dans ses discussions avec les Russes comme avec l’Ukraine."

Voeux de Nicolas Sarkozy aux forces économiques


Voeux de Nicolas Sarkozy aux forces économiques
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Lors de ses vœux aux forces économiques le 15 janvier à Vesoul, le président de la République a exigé des banques françaises de nouvelles contreparties en échange des aides de l’Etat.
Concernant les banques françaises, le chef de l’Etat a demandé aux dirigeants de renoncer à leur bonus cette année en contrepartie du soutien financier que l’Etat leur a apporté. Christine Lagarde sera chargée d’étudier les conditions d’une nouvelle intervention de l’Etat pour soutenir les banques françaises. Une "intervention assortie de trois nouvelles contreparties" : elles portent sur le financement de projets précis, sur les dividendes versés aux actionnaires et sur la rémunération des dirigeants.
Le chef de l’Etat a rappelé qu’il légiférait si les recommandations du Medef et de l’Association française des entreprises privées (Afep) encadrant les rémunérations des dirigeants n’étaient pas appliquées "à la fin du trimestre".
Les moyens d’Oséo, la banque publique d’aide aux petites et moyennes entreprises, seront renforcés pour lui permettre de garantir "jusqu’à 90 %" du montant des prêts aux entreprises contre 70 % précédemment.
En octobre, Oséo avait été autorisée à prendre 5 milliards d’euros de risques supplémentaires pour garantir l’accès des entreprises au crédit dans le cadre d’un plan de 22 milliards d’euros dédié au financement des PME.
Les demandes des PME restant très fortes, le plan de relance a renforcé les mesures en faveur des PME à hauteur de 4 milliards d’euros de prêts, au travers d’un nouveau renforcement des interventions d’Oseo.
Pour la filière automobile, le chef de l’Etat a assuré que de nouvelles ressources seront mobilisées pour soutenir le secteur. "On vous aidera de toutes nos forces, mais on se battra aussi pour que des sites qui représentent l’identité française soient préservés", a-t-il expliqué lors de la visite à l’usine PSA de Vesoul. Concrètement, le Gouvernement "prendra des décisions pour aider nos constructeurs à garder nos emplois et nos industries en France, à soutenir l’évolution vers la voiture électrique, à alléger les charges", a-t-il ajouté.

La nouvelle formation des maîtres

Xavier Darcos a annoncé, dans un communiqué du 15 janvier, que la rénovation de la formation des maîtres passe désormais par un niveau de qualification de niveau Master 2 et une rémunération de début de carrière correspondant à ce niveau de qualification plus élevé.

Conformément au souhait du président de la République, le ministère de l’Éducation nationale mettra en place, dès la session 2010, de nouveaux concours de recrutement pour les professeurs des écoles, les professeurs des lycées et collèges et les conseillers principaux d’éducation.
Les universités assureront la formation des futurs professeurs avant le concours. Elles proposeront leurs projets de Masters d’ici au 15 février. L’Aeres les évaluera d’ici au 15 avril pour une habilitation qui permettra aux étudiants de s’inscrire dans ces nouveaux Masters (M2) dès la rentrée 2009.


Des stages en milieu scolaire
La nouvelle formation des enseignants comprendra désormais un volet à "caractère professionnalisant" : en 1re année, des "stages d’observation seront proposés par l’Éducation nationale ; en 2e année, des "stages d’observation et de pratique accompagnée" non rémunérés et des "stages en responsabilité" indemnisés, seront proposés aux candidats.
Permettre la transition
Des mesures transitoires sont aménagées pour les étudiants déjà engagés dans la préparation aux concours : pourront se présenter au concours 2010, les participants aux épreuves d’admissibilité des concours 2009, non inscrits en M2 ; pourront s’inscrire en M2, en septembre 2009, les candidats admissibles aux concours 2009 ne justifiant pas d’un M1, ainsi les candidats non admissibles mais titulaires d’un M1.
La commission nationale d’évaluation de la formation des maîtres assurera le suivi de la mise en œuvre de la réforme.

Avec cette réforme, les enseignants français bénéficieront désormais d’une formation universitaire comparable à celle de l’ensemble des pays européens, au terme de cinq années d’études. L’enjeu est qualitatif : donner une meilleure qualité de formation aux futurs enseignants pour assurer une meilleure qualité d’enseignement aux élèves.

Voeux de François Fillon à la presse

Voeux de François Fillon à la presse
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Nominations au gouvernement


Sur la proposition du Premier ministre, le Président de la République a mis fin aux fonctions de M. Xavier BERTRAND, ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité.

Il a nommé :

- M. Brice HORTEFEUX, ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville.

- M. Eric BESSON, ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire.

- Mme Christine BOUTIN, ministre du Logement.

- Mme Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’Économie numérique, auprès du Premier ministre.

La secrétaire d’État chargée de la Solidarité, la secrétaire d’État chargée de la Politique de la ville et la secrétaire d’État chargée de la Famille sont déléguées auprès du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville.