Patrick Devedjian invité de RTL (26/03/09)

Patrick Devedjian invité de RTL (26/03/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

Le ministre en charge de la Relance répondait jeudi matin aux questions de Jean-Michel Aphatie. Patrick Devedjian a assuré que le plan de relance de 26 milliards dont il a la charge au gouvernement pouvait "servir d'amortisseur" face à l'aggravation du chômage qui a connu une nouvelle flambée en février avec près de 80.000 demandeurs d'emplois supplémentaires. La crise mondiale "nous frappe naturellement sévèrement mais notre plan de relance produit déjà ses effets et c'est un avantage sur d'autres pays parce que chez nous il a démarré très vite" et "les méthodes que nous avons adoptées nous permettent d'entrer dans les faits beaucoup plus vite", a-t-il aussi jugé.

Journée d'actions du 19 mars




Article du Progrès du 28 mars 2009


Jean-François Copé invité de RTL (24/03/09)

Jean-François Copé invité de RTL (24/03/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale répondait mardi matin aux questions de Jean-Michel Aphatie. Jean-François Copé s'est prononcé en faveur d'une loi encadrant la rémunération des patrons, jugeant que le gouvernement "se rapproche de la perspective" de légiférer. "Chaque jour qui passe nous rapproche de la perspective de le fabrication d'une loi, on est en train de s'en approcher sérieusement", a-t-il avancé. "Les mauvaises histoires volent un peu en escadrille, ça commence à en faire beaucoup".

Intervention lors du conseil municipal de Villeurbanne du 26 mars 2009

R-20090076 : Création d’un poste d’attaché chargé de mission « ville-handicap » à la direction générale des services

Monsieur le maire, chers collègues

Par ce rapport, vous nous proposez la création d’un poste d’attaché chargé de mission « ville-handicap » à la direction générale des services.
Le texte de votre délibération provoque chez moi un constat, deux remarques et une interrogation.

Un constat

Depuis sa nomination au poste d’adjointe à l’accessibilité et au handicap, l’engagement de Mme Lefranc, reconnu par chacun dans cette assemblée, semble réveiller la municipalité sur le domaine de l’handicap en orchestrant un début de mise en conformité de notre ville avec les obligations de la loi du 11 février 2005 sur l’égalité des chances des personnes handicapées.

Deux remarques

Premièrement, la ville une fois de plus est incapable d’anticiper et de faire preuve d’innovation. Il faut attendre une loi du gouvernement Raffarin pour que « la culture du handicap » devienne une de vos priorités. Pourtant notre commune, ou de nombreuses institutions de malvoyants résident depuis des années, aurait pu devenir une ville pilote en matière d’accissibilité et d’intégration des personnes handicapées. Encore une occasion manquée !

Deuxièmement, face à des missions nouvelles, votre réaction est de créer un poste de plus de fonctionnaire de la ville, entraînant de nouvelles dépenses de fonctionnement supportées par les contribuables de Villeurbanne. Réaction naturelle de socialistes français….Pourtant, vous affirmez dans votre délibération que les compétences techniques existent déjà dans les services. La recherche de la productivité est valable aussi pour des collectivités territoriales.
Pensez aux Villeurbannais qui paient l’impôt !

Une interrogation

Dans votre délibération, vous parlez d’une démarche de concertation avec un réseau de partenaires. Quelle sera la place des associations et représentants des personnes handicapées et de leur famille dans l’aménagement des bâtiments publics actuels et des constructions futures?

Merci de votre attention.

Régis LACOSTE
Groupe UMP

ITW de Alain Juppé (12.03.09)

ITW de Alain Juppé (12.03.09)
Vidéo envoyée par ITWE1

Alain Juppé était l'invité jeudi matin de Jean-Pierre Elkabbach. Sur le retour complet de la France dans le commandement intégré de l'Otan, l'ancien Premier ministre estime que c'est un "pari" qu'il faut accepter. En revanche, sur le calendrier de cette réintégration, il dit n'être "pas sûr" que c'était le bon moment. "Je ne pense pas qu'on perde l'indépendance de la France. Je dis simplement que le pari qui consiste à dire : soyons dedans pour influencer le nouveau concept stratégique de l'Alliance (...) prenons-le et on verra", ajoute-t-il.

Article du Progrès du 22 mars 2009 : augmentation des impôts villeurbannais !




Projet de loi de finances rectificative pour 2009




Jean-Pierre Raffarin invité de RTL (18/03/09)

Jean-Pierre Raffarin invité de RTL (18/03/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

Le sénateur UMP de la Vienne répondait mercredi matin aux questions de Jean-Michel Aphatie. L'ancien Premier ministre a appelé à "apaiser la société", jugeant qu'après la mobilisation de jeudi "il faudra tirer un certain nombre de conclusions" et "répondre" aux "inquiétudes" exprimées. "Une manifestation doit être respectée parce qu'il y a beaucoup d'inquiétude dans la société : il faut traiter cette pulsion sociale avec une très grande sagesse", a avancé Jean-Pierre Raffarin sur RTL. "Il est important que, dans la société, il y ait ce type de respiration sociale".

Les mesures du sommet social




Les foulées de Villeurbanne dimanche 15 mars 2009

Avec Hervé Bérillon, Florian Moulin et Micheline Montorier

Avec Gérard Desmoulins et Emmanuelle Haziza


François Fillon soutien à l'économie

François Fillon soutien à l'économie
Vidéo envoyée par FrancoisFillon

François Fillon, Premier ministre, s'exprime sur la situation économique et le soutien de l'état à l'économie à l'occasion de son déplacement dans la Drôme le vendredi 13 mars 2009.

Débat des candidats "chel de file" UMP pour les élections régionales de Rhône-Alpes, vendredi 13 mars 2009 à Oullins

Jean-Claude Carle sénateur de la Haute Savoie, Françoise Grossetête député européen et Etienne Blanc député de l'Ain

Jérome Chartier député du Val d'Oise et animateur du débat

Bernard Accoyer président de l'Assemblée Nationale



Débat des candidats "chel de file" UMP pour les élections régionales de Rhône-Alpes, vendredi 13 mars 2009 à Oullins - suite -

Avec Hervé Gaymard, député de la Savoie et ancien ministre

Avec Bernard Accoyer président de l'Assemblée Nationale

Avec Michel Forissier secrétaire départemental et Elisabeth Lamure sénatrice


Avec Christophe Guilloteau député du Rhône




Roselyne Bachelot, invitée de RTL (13/03/09)

Roselyne Bachelot, invitée de RTL (13/03/09)
Vidéo envoyée par rtl-fr

Réforme du recrutement et de la formation des enseignants

Suite à des rencontres et consultations, Xavier Darcos et Valérie Pécresse ont précisé, dans un communiqué commun du 13 mars, les dispositions du lancement dès la session 2010 de la mastérisation des concours. Appliquée de manière transitoire pour la session 2010, les dispositions définitives de cette réforme pour la session 2011 feront l’objet d’une concertation avec les organisations représentatives et les acteurs concernés.


La mastérisation du recrutement des enseignants doit permettre "aux enseignants français de bénéficier à l’avenir d’une formation universitaire au terme de cinq années d’études".
L’enjeu de cette réforme est "une meilleure qualité de la formation des futurs enseignants, une meilleure qualité de l’enseignement délivré aux élèves et la meilleure utilisation du potentiel de formation des universités".
Une commission de concertation et de suivi pour étudier les conditions définitives de la mastérisation
Les conditions définitives seront l’objet de concertations, menées par "une commission de concertation et de suivi". Coprésidée par un président d’université et un recteur et composée de manière égale de membres de l’enseignement supérieur et de l’éducation nationale, elle associera des représentants des syndicats et des associations en vue de "faire aux ministres concernés des recommandations notamment sur l’articulation entre les masters et les concours, sur la question de l’adossement à la recherche des masters, sur les éventuelles adaptations que pourront connaître les épreuves et l’organisation des concours et sur les ajustements pour certaines disciplines professionnelles de l’enseignement professionnel."
Application de la mastérisation des concours dès la rentrée 2010, selon des modalités transitoires
La réforme commencera à s’appliquer pour la session des concours 2010, avant son application complète pour la session 2011.
Pour sa première année d’application, les modalités de la mastérisation auront "un caractère transitoire". Ainsi, les universités qui le souhaitent pourront "donner à leurs parcours de master ou aux masters qu’elles ont élaborés un caractère provisoire lors de l’année 2009-2010". Elles pourront "faire évoluer, dès la rentrée universitaire 2010, leur offre de formation, soit en totalité, soit seulement pour la deuxième année des masters nouveaux proposés", en fonction des travaux de la commission.
Des stages pour les étudiants de Master 1 et 2 se destinant au métier d’enseignant
Dès la rentrée 2009, des stages seront ainsi organisés pour tous les étudiants de Master 1 et de Master 2 se destinant à l’enseignement afin de les préparer à l’exercice du métier d’enseignant. Ils seront encadrés, par des "professeurs d’accueil ou référents de l’Education nationale" et des "formateurs universitaires qui seront responsables de la validation des stages ainsi que de leur bonne insertion dans le cadre des masters". En M1, ces étudiants pourront bénéficier de "stages d’observation et de pratique accompagnée" de 108 heures. Des "stages en responsabilité", rémunérés, d’une durée égale seront accessibles aux étudiants de M2.
Un dispositif social pour les étudiants
En parallèle, un "dispositif social nouveau au profit des étudiants qui se destinent à devenir enseignants sera créé, de manière additionnelle à ceux existants déjà dans les universités" :
12 000 bourses, pouvant atteindre 2 500 euros et calculées en fonction du revenu fiscal de référence, seront attribuées sur critères académiques pour l’année de M2 aux meilleurs étudiants de M1 ;
pour "favoriser la promotion sociale et la poursuite d’études pour devenir enseignants", les étudiants ayant droit à une bourse sur critères sociaux à l’échelon 0 bénéficieront d’une bourse complémentaire de 1 449 euros annuels ;
les stages en responsabilité, qui pourront bénéficier à 50 000 étudiants, seront rémunérés, à hauteur de 3 000 euros pour 108 heures d’activité ;
5 000 postes d’assistants d’éducation seront réservés aux étudiants de M2 inscrits aux concours de recrutement et 4 000 postes seront réservés aux étudiants souhaitant se destiner au métier d’enseignant inscrits en M1.
Ajustement provisoire des épreuves de concours en 2010
Les épreuves des concours 2010 auront aussi un caractère provisoire, afin de "mieux prendre en compte l’offre de formation de niveau master déjà existante dans les universités et d’assurer une transition pour les candidats qui ont bénéficié d’une préparation aux concours cette année". Pour les concours du second degré, "une épreuve disciplinaire comparable à une des épreuves existantes précédemment se substituera à l’épreuve de connaissances générales du système éducatif qui était initialement prévue. Ces dernières connaissances seront cependant abordées au sein de la formation continue dont bénéficieront les jeunes enseignants stagiaires".
Pour l’agrégation, les épreuves ne changeront pas.
Pour les concours du premier degré (CRPE), "les épreuves écrites continueront de comporter une composante didactique". Par ailleurs, pour l’ensemble des concours (CRPE, CAPES, CAPEPS, CAPET, CAPLP, CPE et Agrégation), outre les étudiants inscrits en M2, ou déjà titulaires d’un M2, "pourront se présenter et être admis à la session 2010 sans condition nouvelle de diplôme, tous les candidats présents aux épreuves de concours de la session 2009". Par ailleurs, pour le premier degré, comme pour le second degré, il y aura au moins autant de places mises aux concours externes de recrutement en 2010 qu’en 2009.
Accroître l’accompagnement des jeunes enseignants
Dès la rentrée scolaire 2010, les jeunes enseignants bénéficieront "d’un meilleur accompagnement lors de leur entrée dans le métier".
Les jeunes enseignants stagiaires, recrutés à l’issue de la session 2010 des concours, bénéficieront d’une "formation continue renforcée", dans le cadre de leurs obligations de service, comprenant, d’une part, "une partie pratique sous la forme d’un tutorat", et, d’autre part, une "formation hors écoles ou établissements, de nature disciplinaire ou professionnelle dont les universités seront les acteurs essentiels".
Chaque jeune enseignant stagiaire sera accompagné par un tuteur qui pourra intervenir dans la même classe que son stagiaire. Dans le premier degré, cette fonction s’appuiera sur les PEMF.
Revalorisation des rémunérations pour les jeunes enseignants dès 2010
Enfin, la mise en oeuvre de ce processus de mastérisation permettra de "revaloriser substantiellement les rémunérations des jeunes enseignants dès à compter de la rentrée scolaire 2010".
Les ministres ont invité "les organisations représentatives à discuter des dispositions précédentes, en ce qui concerne la définition du processus abouti de la réforme en 2011 et l’organisation de l’année transitoire".

Nicolas Sarkozy confirme le retour de la France dans l’Otan


"Le moment est venu"
Vidéo envoyée par publicsenat

Le président de la République est intervenu, le 11 mars, lors de la clôture du colloque "La France, la défense européenne et l’Otan au XXIe siècle", organisé par la Fondation pour la recherche stratégique. Il a défendu le principe du retour de la France dans le commandement intégré de l’Otan.

Le débat stratégique français - le Livre blanc
"En tant que Chef des armées et donc garant de la défense des intérêts vitaux et de la sécurité de la France, je porte la responsabilité des choix stratégiques de la Nation."
"J’ai souhaité il y a 18 mois, que s’engage un débat lucide, serein et transparent, associant nos responsables politiques et militaires, les parlementaires, les chercheurs. Cela a abouti à un nouveau "Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale", 14 ans après celui de 1994"
Les menaces et les conditions de la sécurité nationale
"La France n’est plus aujourd’hui menacée d’une invasion militaire, et cela peut-être pour la première fois dans son histoire."
"D’autres menaces se sont substituées, elles sont liées à la mondialisation : terrorisme, prolifération, attaques contre les systèmes spatiaux et attaques de systèmes informatiques dont nos sociétés technologiques sont profondément dépendantes."
"Les compétitions pour l’accès à l’eau, à l’énergie, aux matières premières, la dégradation de l’environnement, les pandémies, les migrations non maîtrisées, sont lourdes de conséquences pour notre sécurité."
"Ces menaces peuvent paraître lointaines. Mais ne nous y trompons pas : le territoire national peut être frappé demain, comme celui de nos Alliés. La distinction sur laquelle nous nous reposions entre sécurité intérieure et sécurité extérieure, on peut dire qu’elle s’efface totalement. Et la défense de la France se joue désormais tout autant sur notre territoire qu’à des milliers de kilomètres, dans l’espace, ou sur les réseaux informatiques. "
La France s’engage
"La France s’engage, la France parle à tout le monde, la France fait bouger les lignes, la France propose et la France innove. Elle le fait en étant fière d’être ce qu’elle est, une démocratie libre, une démocratie européenne et une démocratie occidentale. La France veut la paix, la France veut la liberté. Et la France sait, aussi, qui sont ses alliés et qui sont ses amis : et je n’ai pas peur de dire que nos alliés et nos amis, c’est d’abord la famille occidentale."
"Une défense forte, ce sont des forces armées et de sécurité modernes, adaptées aux menaces actuelles".
"Nos forces armées doivent avoir l’assurance, dans la durée, de disposer de moyens à la hauteur de notre ambition. En dépit de la crise actuelle, avec le Premier ministre et le ministre de la Défense, nous avons maintenu l’effort de défense de la France. 377 milliards d’euros pour la défense d’ici 2020."
"Pour être forte, notre défense doit être indépendante : nous nous doterons donc de capacités autonomes de renseignement et d’alerte, de capacités de cyber défense et de forces de projection."
L’Europe de la Défense
"Avec le traité de Lisbonne, nous aurons un cadre cohérent en matière de défense. Quand il entrera en vigueur, le cadre institutionnel de la Pesd sera consolidé pour de nombreuses années. Et c’est très bien ainsi."
"Le traité créera une obligation d’assistance mutuelle en cas d’agression armée et une obligation de solidarité en cas d’attaque terroriste"
"Nous aurons une capacité renforcée de planification, combinant les aspects militaires et civils."
"Nous allons renforcer nos capacités militaires : des projets ont été approuvés, ouverts à ceux qui le souhaitent, pour la projection et la protection des forces, l’information et le renseignement spatial, l’interopérabilité."
"Nous allons créer un "Erasmus" militaire, pour la formation commune des officiers européens."
"Nous avons acté qu’il faudra restructurer la base industrielle de défense."
"Nous allons stimuler l’effort de recherche de défense, c’est-à-dire l’avenir même de notre industrie, avec un objectif collectif de 2% de l’effort de défense et un Fonds pour alimenter les projets."
"Enfin, l’UE va s’engager dans les domaines les plus urgents de notre sécurité : des plans ont été adoptés pour la lutte contre le terrorisme, la prolifération, renforcer la sécurité spatiale, le désarmement."
La France et l’Alliance atlantique
"Nous sommes membres fondateurs de l’Alliance atlantique, née il y a 60 ans. Membres fondateurs et nous n’avons jamais quitté l’Alliance atlantique."
"Depuis 1966, la France s’est rapprochée de l’Otan par étapes, le plus souvent sans le dire."
"Depuis 1992, le Président était François Mitterrand, tirant les conséquences du nouvel état du monde, nous sommes allés avec l’Otan en Bosnie puis au Kosovo, après avec l’Otan avoir fait plier la Serbie de Milosevic, et enfin avec l’Otan nous nous sommes rendus en Afghanistan."
"Depuis le concept stratégique de 1999, nous avons soutenu et participé à la transformation de l’Alliance, qui a abouti en 2002 à d’importantes transformations. Nous participons notamment à la Force de réaction rapide de l’Otan."
Le retour dans le commandement intégré de l’Otan
"Le moment est donc venu de mettre fin à cette situation, car c’est l’intérêt de la France et c’est l’intérêt de l’Europe."
"En concluant ce long processus, la France sera plus forte, la France sera plus influente. Pourquoi ? Parce que les absents ont toujours tort. Parce que la France doit codiriger plutôt que subir."
Vers un nouvel Otan
"Avec Angela Merkel, nous avons proposé le 4 février dernier une approche franco-allemande. Nous demandons à nos Alliés de lancer les travaux d’un nouveau "concept stratégique", dix ans après celui de 1999. J’attire votre attention, quelle serait la logique d’une France qui demande un nouveau concept stratégique, d’une alliance qu’elle a créée, et qui ne participerait pas pleinement à l’élaboration du nouveau concept stratégique ? ".
"Nous voulons une Otan plus réactive et plus efficace."
"Nous voulons qu’elle assure autant la défense collective, l’article 5, que les missions que nous conduisons dans le monde au service de notre sécurité et de la paix, conformément à la Charte des Nations unies."
"Nous voulons renforcer le partenariat stratégique entre l’Union européenne et l’Otan."
"Nous voulons une Alliance ouverte aux nations de l’espace euro-atlantique. Mais notre Alliance n’est pas une auberge : y entrer, cela implique de partager nos valeurs, de pouvoir en assumer les responsabilités et de contribuer effectivement à la sécurité des alliés et à la stabilité du continent."

Réunion de la commission Education, famille, culture et sport du conseil municipal le 10 mars 2009


Tribune VIVA de mars 2009

Plan de relance de l’économie : priorité à l’investissement et à l’emploi

La crise que nous traversons est une crise structurelle sans précédent qui va transformer notre économie et notre société.
Cette crise, la France doit l’affronter et non la subir.
La réponse de Nicolas Sarkozy à la crise est l’investissement car la relance par la consommation a maintes fois démontré par le passé son inefficacité.
Plus d’investissements, c’est plus d’activité, de valeur ajoutée et d’emplois !
Le plan de relance du gouvernement de François Fillon, de 26 milliards d’euros, accélère les investissements publics et encourage l’investissement privé :
- 4 milliards d’euros dans des domaines stratégiques : infrastructures, développement durable, patrimoine, enseignement supérieur, recherche et défense.
- 4 milliards d’euros pour moderniser et développer nos infrastructures ferroviaires et énergétiques.- un remboursement anticipé et définitif du fond de compensation de la TVA de 2,5 milliards d’euros et 8 milliards d’euros sont mobilisés sous forme de prêts sur fonds d’épargne de la Caisse des dépôts et consignations en faveur de grands projets des collectivités locales.
- l’Etat accélérera le paiement des 11,4 milliards d’euros de créance des entreprises sur le Trésor public.
-la suppression de la taxe professionnelle sur les investissements des entreprises et la création du fond stratégique d’investissement doté de 20 milliards d’euros.
- pour l’industrie automobile durement touchée par la crise : une prime à la casse de 1000 euros, un soutien au crédit automobile et l’octroi d’un prêt de 6 milliards d’euros à un taux de 6 % sur une durée de 5 ans
-un soutien actif au logement : 1,45 milliards consacrés au logement pour 2009-2010 avec un programme de 100 000 logements supplémentaires dont 30 000 logements sociaux, l’accélération du programme de rénovation urbaine dans les banlieues, le doublement du prêt à 0%, l’extension du Pass foncier pour l’accession sociale à la propriété pour 30 000 logements et 200 millions d’euros pour la rénovation de l’habitat.

Et Villeurbanne ?
Lors du dernier conseil municipal du 2 février, les élus UMP ont regretté que la municipalité socialiste n’accompagne pas le plan de relance et ne profite pas des outils financiers proposés par le gouvernement pour des rénovations massives de logements sociaux aux Buers, à Saint-Jean et aux Brosses par exemple.
La ville de Villeurbanne restera-t-elle longtemps spectatrice, par idéologie politicienne, au détriment de l’intérêt des Villeurbannais ?

Régis LACOSTE
Groupe UMP

La réforme des collectivités locales, par Dominique Perben

La réforme des collectivités locales, par Dominique Perben
Vidéo envoyée par ump

Interview de Dominique PERBEN.
Ancien ministre, député du Rhône, membre du Comité pour la réforme des collectivités locales qui a rendu son rapport au Président de la République, le 5 mars 2009.

50ème anniversaire du conseil constitutionnel