Tour de vis fiscal et matraquage fiscal programmé de la gauche

Les mauvaises solutions de Francois Hollande pour le logement

1/ La situation du logement en France se détériore, personne ne peut le nier : les prix de l’immobilier ont fortement augmentés en 10 ans (+84 dans le neuf, +141% dans l’ancien), tout comme les loyers (+33%).

2/ Alors que la situation est critique, François Hollande et Cécile Duflot proposent trois mesures qui ne résoudront pas le problème :
  • Encadrer le prix des loyers : cela va décourager les propriétaires à investir, accentuant la pénurie de l’offre locative et la dégradation du parc de logements.
  • Doubler le plafond du livret A : les encours actuels couvrant 150% des demandes de prêts pour construire des logements sociaux, cela ne profitera qu’aux plus aisés pour défiscaliser leurs avoirs, moins de 50% des Français ont plus de 150 € sur leur livret A.
3/ Malgré la crise, notre bilan prouve que nous allions dans la bonne direction jusque-là, puisque de 2007 à 2012 :
  • + 2 millions de logements ont été construits, dont 600 000 logements sociaux. Plus de 55 000 chambres en résidences universitaires ont été réhabilitées ou construites.
  • 115 000 places en hébergement d’urgence sont aujourd’hui disponibles soit une augmentation de 27%.
4/ Nos propositions : autoriser les maires à majorer de 30% les droits à construire, permettre au locataire d’attaquer en justice le propriétaire du logement lorsqu’il pratique des loyers de 20% à ceux du marché, instaurer un « droit d’achat » pour les locataires de logements sociaux…

Cannabis : il faut que les mensonges cessent, la gauche veut dépénaliser

Malgré les démentis de l’exécutif, inquiet à juste titre des conséquences électorales de cette annonce, la gauche si elle devait remporter les élections législatives dépénalisera le cannabis.

Jean-Michel Baylet a réaffirmé ce matin sur RTL qu’il était favorable à la « légalisation du cannabis estimant qu’il faudrait le vendre en pharmacie » ! Cela rejoint la proposition de Daniel Vaillant qui veut créer une « filière cannabique bio, naturelle » avec des « cannabiculteurs agréés par l'Etat ». En clair, le projet de la gauche est donc de transformer nos pharmaciens et nos agriculteurs en producteurs de drogues et en dealers. Ceux-ci apprécieront !

Pour Bruno Beschizza, Secrétaire National de l’UMP, il ne s’agit plus aujourd’hui de savoir si la gauche légalisera le cannabis, mais quand et comment la légalisation sera organisée. Les Français ont droit à la vérité sur un sujet particulièrement important pour l’avenir de notre pays et notamment de notre jeunesse. Les mensonges doivent donc cesser et le gouvernement annoncer quelles seront les évolutions.

Bruno Beschizza
Secrétaire national de l'UMP

Soirée collage mardi 5 juin 2012



Agression antisémite de Villeurbanne

Emmanuelle Haziza, conseillère municipale de Villeurbanne et candidate de l’UMP sur la 6e circonscription du Rhône
“C’est une agression inacceptable et écœurante, qui aurait pu avoir une issue dramatique. Au delà de l’horreur du geste qui était clairement antisémite, c’est chaque français qui est touché dans sa personne dans cette agression salissant l’honneur et les valeurs de la République. Il est inadmissible que de nos jours des personnes soient délibérément et gratuitement aussi sauvagement attaquées en raison de leur origine. Et ce n’est pas les signaux envoyés par le nouveau gouvernement en terme de politique de Justice qui vont arranger la situation.
Le nouveau gouvernement en voulant supprimer les tribunaux correctionnels pour mineur, les peines planchers, la rétention sûreté, préfère s’occuper des délinquants que des victimes. Au local, ce n’est pas la première fois qu’à Villeurbanne de telles agressions se produisent. Rien n’a été fait jusqu’ici pour qu’elles cessent et pour que la tranquillité et l’ordre public soient promus et préservés.
L’immobilisme et la politique d’angélisme et de laxisme de la mairie socialiste ne peuvent plus durer, des mesures doivent être prises pour assurer la protection des villeurbannais. Cela passe par davantage de volontarisme en matière de sécurité, c’est-à-dire des moyens techniques de vidéoprotection et des moyens humains que la Mairie et la gauche locale refusent d’engager. Quand on sait qu’à Villeurbanne, la proportion des dépenses dédiée à la sécurité est de 4%, je signe et persiste : la sécurité est la première des libertés et ne peut pas être un budget au rabais.”

L'attestation de contrôle d’identité, véritable mesure vexatoire pour les forces de l’ordre

Bruno Beschizza, Secrétaire National de l’UMP à l’emploi des forces de sécurité dénonce l’idée même d’une attestation de contrôle d’identité, véritable mesure vexatoire pour les forces de l’ordre, exerçant souvent leurs missions au péril de leur vie.
Pour Bruno Beschizza, la confiance est à priori dans l'ensemble des forces de sécurité de notre pays : policiers nationaux, gendarmes et policiers municipaux représentants de la force publique légitime de notre République.
Bruno Beschizza dénonce l’inversion des valeurs de ce gouvernement.
Après la garde des sceaux qui préfère d’abord rendre visite à des détenus lors de leurs loisirs plutôt de recevoir les victimes, voici que le Ministre de l’Intérieur donne des gages aux associations antiracistes qui se méfient de la police.
Les forces de sécurité attendent de leur Ministre des déclarations de confiance à leur égard, et non des preuves de défiance.

Qui va payer les promesses électorales des socialistes ?

Chef du Gouvernement des bonnes intentions dans le monde fictif des "riches" contre les "pauvres", Monsieur Ayrault a encore brillé ce matin sur BFM TV et RMC par l’imprécision dangereuse et, pire, volontaire de ses propos ! Une fois de plus, les socialistes sont à la fête en perspective des élections, et les Français paieront ensuite la facture !

Après Monsieur Hollande sur France 2 qui exprimait, en plein cœur de la crise, son autosatisfaction d’avoir rencontré des chefs d’Etat étrangers, voici que c’est son Premier ministre qui entonne le refrain des charitables "y’a qu’à / faut qu’on", "la croissance c'est bien et la guerre c'est moche", "les riches doivent payer" et autres incantations d'une banalité effrayante et d'une imprécision grave de populisme.

Qu’on ne se trompe pas : ce sont les Français qui vont devoir payer les folies des promesses socialistes ! Alors soyons un peu précis, un peu rigoureux ! Messieurs du Gouvernement, précisez vos intentions !

Ainsi, Monsieur Ayrault annonce des hausses d’impôts. Mais pour qui ? De combien ? Quels pourcentages ? Quelles tranches ? Quelles assiettes ? Il faut que cesse la démagogie qui consiste à répondre que les « riches » paieront ! Qui sont les « riches » ? A partir de quels revenus un Français est-il riche ? Combien devra-t-il payer une fois les élections législatives passées ? Qui est visé ?? Qui va payer ??

Monsieur Ayrault promet encore une hausse du SMIC. Mais de combien exactement ? Qui la paiera ? Aux frais de qui ? Que sera-t-il fait pour ne pas handicaper les entreprises et l'emploi ? La ficelle consistant à en annoncer le principe en Conseil des ministres juste avant les élections législatives, pour n’en dévoiler le détail qu’après le vote est un peu grosse ! C’est une lâcheté politique ! Une supercherie qui ne mérite que d'être dénoncée !

Dans le monde nouveau des socialistes, il suffit peut être de répéter partout ses belles intentions, mais dans la réalité économique, il y a une crise grave, des conséquences, des gens qui paient, des gens qui souffrent, des gens qui travaillent ! Il y a des Français écrasés par une fiscalité injuste qui finance des dépenses inefficaces ! La seule question qui vaille aujourd'hui d'être posée est : qui va payer les promesses électorales des socialistes ??

Camille Bedin
Secrétaire nationale de l'UMP

Le chiffre de la semaine par Jérôme Chartier : 2,34 %

Quand Valls concurrence Royal…


En 2007, pendant le débat entre Nicolas SARKOZY et Ségolène ROYAL avant le 2e tour des présidentielles, celle-ci s’était ridiculisée en affirmant qu’il fallait que les fonctionnaires de police soient nuitamment raccompagnés chez eux par… des fonctionnaires de police…

En 2012, face aux problèmes de délinquance, le Gouvernement socialiste innove : le fonctionnaire de police qui fera des contrôles d’identité devra donner la sienne avec un récépissé…

On croit rêver : ainsi la personne contrôlée aura le nom du policier contrôleur… Dans certaines zones sensibles, on voit le risque encouru par le policier… Combien de temps durera la remise du récépissé ? Au bout de 3 récépissés, on gagne quoi ? Un képi ?

Sincèrement, la sécurité de tous nos concitoyens mériterait plus de sérieux. C’était l’image de Manuel VALLS… Jusqu’à aujourd’hui… Pitié pour la police, les policiers et les citoyens !

Roger Karoutchi
Sénateur des Hauts-de-Seine
Conseiller politique de l'UMP

UMP - Point presse de Jean-François Copé du 30 mai 2012

Un sommet social à contretemps et contre-emploi

I. Sur la forme, le sommet social est une pure opération de communication :

Nous sommes dans la réunion préparatoire à la réunion préparatoire de la préparation de l’ouverture des négociations avec les partenaires sociaux. On reconnaît la méthode « Hollande » appliquée 11 ans durant à la tête du PS : le gouvernement veut occuper le terrain médiatique tout en évitant de prendre des décisions avant les élections législatives.

II. Sur le fond, le gouvernement a 2 mesures phares :

1/ Il veut revenir partiellement à la retraite à 60 ans. Concrètement, cela représente 5 milliards d’euros d’augmentation des cotisations, prélevées sur les feuilles de paie chaque année, soit 250€ en plus à débourser chaque année pour un couple gagnant 1 600€.

2/ Il veut augmenter le SMIC. Il n’y a rien de nouveau à ce que le SMIC progresse quand le coût de la vie augmente. Mais décider d’indexer en partie le SMIC sur la croissance, comme le veut François Hollande, plutôt que conserver la méthode de revalorisation actuelle ?
C’est de la poudre aux yeux, car en parallèle, François Hollande veut augmenter les cotisations des salariés ou taxer les heures supplémentaires !
Cela représente un danger pour l’emploi : une hausse de 10% du Smic détruirait environ 300 000 emplois. Une trop forte hausse du coût du travail est insoutenable pour les entreprises et entraîne des délocalisations.