Voeux pour 2013

Que l'année 2013
vous apporte
à vous et à votre famille
le bonheur et la réussite, le succès dans vos projets et l'accomplissement de vos rêves.

Voeux de Jean-François Copé pour l'année 2013


Décision du Conseil constitutionnel d'annuler la taxe à 75% sur les revenus

Pour Jean-François Copé, Président de l'UMP, la décision du Conseil constitutionnel d'annuler la taxe à 75% sur les revenus illustre l’échec des 8 premiers mois de François Hollande.
 
Cette promesse démagogique symbolisait le grand malentendu qui avait conduit à son élection en mai dernier. Nous avions alors dénoncé l’inconstitutionnalité de cette mesure et son caractère anti-économique. Par cynisme politique, François Hollande s’est entêté et il paye aujourd’hui son aveuglement idéologique.
Alors que tous les pays du monde nous regardaient consternés, François Hollande a trompé les Français, en leur faisant croire qu’il suffisait de « taxer les riches » pour résoudre tous les problèmes de notre pays. En réalité, dissuader les créateurs d’entreprises et punir les plus riches jusqu’à qu’ils quittent notre pays fait mécaniquement retomber l’effort fiscal sur les classes moyennes. C’est cette faute morale qui est aujourd’hui sanctionnée.
Alors que le Premier ministre s’est empressé d’annoncer que cette taxe serait réintroduite dès l’année prochaine, j’appelle solennellement François Hollande à tirer les leçons de ses échecs et à changer de politique.
Le chômage augmente dramatiquement, la croissance est à l'arrêt, le pouvoir d’achat des ménages est en baisse et plus personne ne croit capable la France d’atteindre l’objectif de réduction du déficit public à 3% du PIB.
Ce que nous attendons c’est une politique de compétitivité au service de l’emploi. Baisser la dépense publique au lieu d’augmenter massivement les impôts, réformer le marché du travail pour permettre aux entreprises d’embaucher, réformer le financement et le fonctionnement de notre protection sociale pour qu’elle soit plus efficace et moins couteuse, améliorer la formation, l’orientation, la recherche, l’innovation : voilà les clefs de la croissance.
Pour la France, il est impératif qu'en 2013 François Hollande prenne conscience de son devoir et entreprenne enfin les réformes courageuses dont nous avons besoin.

Jean-François Copé
Président de l'UMP
Le Point : Sarkozy jugé deux fois plus efficace que Hollande

Dans un sondage récent, les Français jugent sévèrement l'action de leur président.

À la question "Entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, qui selon vous mène/a mené la politique la plus efficace ?", 40 % des personnes interrogées répondent Nicolas Sarkozy.
À la question "Entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, qui selon vous mène/a mené la politique la plus efficace ?", 40 % des personnes interrogées répondent Nicolas Sarkozy.© ERIC FEFERBERG / AFP


La politique que menait Nicolas Sarkozy est jugée deux fois plus efficace que celle menée par son successeur à l'Élysée François Hollande (40 % contre 22 %), tandis que 31 % des Français les jugent "aussi inefficaces l'un que l'autre", selon un sondage BVA pour i>Télé vendredi. À la question "Entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, qui selon vous mène/a mené la politique la plus efficace ?", 40 % des personnes interrogées répondent Nicolas Sarkozy et 22 % François Hollande. 31 % jugent qu'ils sont "aussi inefficaces l'un que l'autre", 5 % "aussi efficaces l'un que l'autre", et 2 % ne se prononcent pas.
Par ailleurs, 35 % des Français considèrent que François Hollande mène la politique "la plus juste", légèrement devant Nicolas Sarkozy (33 %). Leurs politiques sont jugées aussi injustes l'une que l'autre par 23 % des sondés, aussi justes l'un que l'autre par 5 %. Plus de six Français sur dix (62 %) estiment que l'action d'Arnaud Montebourg en tant que ministre du Redressement productif est "plutôt inefficace", 36 % la trouvant "plutôt efficace", et 2 % ne se prononçant pas, selon la même étude.
Enfin près de la moitié des personnes interrogées (43 %) considèrent que la crise de l'UMP "va se poursuivre durablement", contre 26 % qu'elle "va s'achever dans les semaines qui viennent", et 29 % qu'elle s'achèvera "une fois qu'une nouvelle élection aura lieu". C'est en septembre 2013 que les militants UMP seront de nouveau appelés à élire le président du parti. Sondage réalisé les 20 et 21 décembre auprès d'un échantillon national représentatif de 1 101 personnes âgées de 18 ans et plus, recrutées par téléphone et interrogées par internet. Méthode des quotas. Marge d'erreur entre 1,4 et 3,1 points selon le résultat trouvé

Les vœux 2013 du Parti communiste à Hollande.


L'attentisme et les incantations de François Hollande       
L'attentisme et les incantations de François Hollande
 
En cette fin d'année François Hollande est plus que jamais fidèle à l'attentisme et aux incantations qui le caractérisent depuis son élection. Il avait choisi de donner une « grande » interview sur Europe 1 le 21 décembre 2012 pour dresser un premier bilan de son action.
De ce moment médiatique, on ne retiendra qu'une étonnante « méthode Coué » qui se résume en une formule désarmante d'attentisme : selon François Hollande si l'année 2012 a été difficile, ce n'est pas de sa faute, 2013 sera pire, mais il n'y peut toujours rien, mais « on va s'en sortir » un jour ! La triste vérité oblige à plus d'humilité et de lucidité : l'INSEE prévoit une année 2013 catastrophique sur le plan économique avec un chômage qui approchera 11% au deuxième trimestre et une croissance quasi nulle pour les deux premiers trimestres contre 0,8% prévu par le gouvernement, ce qui signifie que l'objectif intangible de 3% de déficit budgétaire ne sera pas respecté.
Face à ces perspectives désastreuses, François Hollande ne peut ni fuir ses responsabilités, ni refuser de fixer un plan crédible pour sortir de la crise. Et pourtant, il a préféré rester dans le registre des contes de Noël : rien, dans sa politique, ne permet de renforcer la compétitivité de notre économie au service de l'emploi, mais, il en est sûr, la courbe du chômage s'inversera. Les incantations ne peuvent tenir lieu de stratégie économique. Il y a quelque chose d'indécent à promettre aux chômeurs des lendemains meilleurs, sans prendre les moyens de parvenir à ce but.

En une demi-heure d'interview, François Hollande a donc encore et toujours choisi l'esquive : rien sur la compétitivité, rien sur la dette, mais pas un mot non plus sur la procréation médicalement assistée (PMA) le mariage et l'adoption des couples de même sexe qui divisent sa majorité et déchirent les Français, pas un mot sur l'explosion très grave de la délinquance (+8% en octobre, +5,6% en novembre), pas un mot sur l'avenir en pointillés de nos régimes de retraite, pas un mot sur le fiasco de Florange… Les évènements semblent passer sur notre Président sans le concerner personnellement.

Ce refus d'assumer son bilan, alors qu'il détient tous les leviers de pouvoir depuis plus de 7 mois, et cette incapacité à fixer un cap de réformes sont le signe d'une pusillanimité rédhibitoire pour un Chef de l'Etat et très préoccupante pour notre pays qui s'enfonce dans la crise.

Dans ce contexte, l'UMP doit incarner dès aujourd'hui le premier lieu de résistance à la politique désastreuse de la gauche, mais aussi le premier lieu d'espérance en traçant des perspectives d'avenir pour tous les Français qui s'inquiètent et qui souffrent.

Amendement sur la procréation médicalement assistée pour les couples de même sexe

Jean-François Copé, Président de l’UMP, fait part de sa très grande inquiétude au sujet de l’ouverture de la Procréation Médicalement Assistée (PMA) aux couples de même sexe.

Les députés PS, avec l’aval ambigu de François Hollande qui, incapable de trancher, s’en est remis sur ce sujet au jugement du « Parlement souverain », ont décidé de défendre un amendement sur l’ouverture de la PMA aux couples de même sexe.
Cette décision est extrêmement choquante sur la forme car elle témoigne d’un glissement progressif du projet de loi vers des sujets qui ne devaient pas être abordés. Au début, François Hollande parlait benoîtement de mariage pour tous, puis est venue la question de l’adoption, et maintenant voilà la PMA. La gauche donne le sentiment d’avoir un plan caché qui consiste en une remise en cause sans précédent du Code Civil, de l’identité parentale, de la filiation et de l’altérité sexuelle. Les Français n’ont jamais donné un chèque en blanc à la majorité sur ces questions, les Français ne peuvent pas ainsi être mis devant le fait accompli sans débat national.
Cette décision est profondément inquiétante sur le fond. La PMA est une technique médicale qui répond au problème de l’infertilité des couples. Dans le cas d’un couple de femmes, nous passerions d’une situation où la science lutte contre l’infertilité à une situation où elle est sommée de répondre à un désir d’enfant. Dans le cas d’un couple d’hommes, la PMA est par définition impossible. Nous serions donc dans une situation paradoxale où, au nom de l’égalité, on créerait une discrimination entre couples de femmes et d’hommes. Cette discrimination ne pourrait être dépassée qu’en légalisant les mères porteuses qui sont interdites aujourd’hui en France au nom de la non marchandisation du corps. Ouvrir la PMA aux couples de même sexe pose de réels problèmes éthiques et juridiques.
J’invite les députés PS à relire la déclaration d’Elisabeth Guigou le 3 novembre 1998, devant l’Assemblée nationale à l’occasion du débat sur PACS. Elle affirmait qu’« un enfant a droit à un père et une mère » et que « les PMA […] n'ont pas pour but de permettre des procréations de convenance sur la base d'un hypothétique droit à l'enfant. » Pourquoi la gauche, au nom d’une course folle à la transgression éthique, est-elle prête à renier aujourd’hui ces principes qu’elle défendait il y a 14 ans ?
Sur cette question éthique essentielle, comme sur celle du mariage et de l’adoption pour les couples homosexuels qui concerne toutes les familles, les Français méritent un vrai débat. J’appelle les militants UMP qui le souhaitent à se joindre pacifiquement à la grande manifestation du 13 janvier 2013 à Paris contre le mariage, l’adoption et la PMA pour les couples de même sexe.

Jean-François Copé
Président de l'UMP

communiqué de presse

L'insulte, nouvelle gouvernance du PS
Lors du conseil municipal du lundi 17 décembre, sur une question à propos du principe de laïcité dans les cantines scolaires de Villeurbanne, Jean-Paul Bret n'a pu retenir son calme et a insulté les élus d'opposition en qualifiant de fasciste l'intervention du groupe UMP. L'insulte est devenue la nouvelle gouvernance du PS à Paris comme à Villeurbanne. Face à la contradiction, faute d'arguments, l'insulte, l'invective et l'agressivité sont des réflexes d'autodéfense !
Déjà lors d'un précèdent conseil municipal, Jean-Paul Bret avait comparé la position des élus écologistes sur le TNP à l'extrême droite !
Quant on se prétend républicain, qu'on organise des Grands débats à Villeurbanne, on accepte la critique et la contradiction en respectant les élus de l'opposition. A travers eux, ce sont les Villeurbannais qui sont insultés !
Avec de tels comportements c'est la démocratie qui est perdante !

Régis LACOSTE
Délégué UMP de Villeurbanne
Conseiller municipal

Intervention sur les cantines scolaires au conseil municipal du 17 décembre 2012


Monsieur le maire, chers collègues,

 

Je profite de ce rapport sur la cuisine centrale pour vous interpeller sur la situation des cantines scolaires à Villeurbanne.

Suite à un article paru dans l’hebdomadaire Le Point du 1er novembre dernier, nous avons été alertés par des DDEN de Villeurbanne sur la remise en cause du principe de laïcité dans les cantines scolaires de Villeurbanne.

Un dispositif de jetons de couleur que chaque élève doit déposer sur son plateau a été mis en place pour permettre aux élèves de choisir leurs menus : bleu pour les menus standard, verts pour les sans-viandes et jaune pour les sans porcs.

Vous présentez ce dispositif comme pragmatique pour simplifier le service et engendrer le minimum de distinction entre les enfants.

Il y a de quoi s’interroger sur le respect de la laïcité à l’école publique. La cantine scolaire est un service public facultatif. Le fait de prévoir des menus en raison de pratiques confessionnelles ne constitue ni un droit pour les usagers ni une obligation pour les collectivités.

Devant cette situation on comprend l’indignation des DDEN, pour eux cette forme d’identification des élèves par le repas est une reconnaissance implicite des religions, tout à fait contraire à l’esprit d’intégration de l’école publique et laïque.

Monsieur le maire, nous connaissons tous votre attachement à l’école publique et laïque. Attachement que je partage complètement comme vous le savez.

Au nom du vivre ensemble, des principes fondateurs d’égalité et de laïcité de notre pacte républicain, vous ne pouvez accepter cette situation dans les cantines scolaires comme ce fut le cas dans certaines villes pour les horaires de piscine.

Pour le journaliste du Point, il est trop tard. Le système est en place, l’engrenage est en marche et la porte grande ouverte à des revendications sans fin.

Pour la défense de l’école publique et laïque, il n’est jamais trop tard. Monsieur le maire, nous comptons sur votre engagement républicain.

Merci d’éclairer et d’informer les membres du conseil municipal.

Le gouvernement Ayrault est à la peine sur tous les sujets


Kikadikoi : la fermeture de l'usine de Florange


Déserts médicaux : beaucoup de bruit pour rien

Le Gouvernement vient, enfin, de publier les mesures avec lesquelles il prétend lutter contre les déserts médicaux. Au chapitre des annonces, on retrouve tout ce que le Gouvernement de Nicolas Sarkozy avait mis en œuvre.

Ironie de la politique, à l'époque, Monsieur Hollande rejetait en masse ces propositions au motif qu'elles étaient insuffisantes.

Le problème est que le Gouvernement ne met pas assez d'argent là ou les Gouvernements précédents de droite s'étaient pourtant engagés. Sinon le plan « gouvernemental » n'annonce rien de nouveau.

De la com, des effets de manches, mais rien à la hauteur des enjeux. Ce n'est pas avec ces mesurettes qu'on règlera demain la question des déserts médicaux

Philippe Juvin
Député européen
Secrétaire national de l'UMP

Fusillade à Marseille : La peur a changé de camp

Bruno Beschizza, Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité, salue le courage et le professionnalisme des policiers de Marseille lors de l'interpellation d'un individu dangereux activement recherché par la justice.

Bruno Beschizza souligne que ces policiers bien que mis en danger ont fait preuve de beaucoup de sang-froid alors que trop souvent les méthodes des policiers des BACs sont injustement mises en cause.

Lors de cette interpellation, les malfaiteurs n'ont pas hésité à faire usage d'armes à feu. Chaque année les policiers sont victimes de plus de 40.000 atteintes physiques ou verbales. Aujourd'hui les voyous n'hésitent plus à faire systématiquement usage de la violence voire à tirer sur les policiers.

Pour Bruno Beschizza, Secrétaire National de l'UMP, la peur a changé de camp. Les criminels et les délinquants ont parfaitement compris le message laxiste de ce gouvernement. Confortés dans leur impunité, ils n'ont plus peur ni de la police, ni des policiers et encore moins de la loi !

Intervention sur la sécurité des terrains de proximité et des squares lors du conseil municipal du 19 novembre 2012


Monsieur le maire, chers collègues,

Je profite de la présentation ce soir d’un rapport pour autoriser le déclassement du domaine public de l’espace sportif de proximité du début de l’avenue Roger Salengro pour revenir sur son remplacement provisoire sur un autre site. En raison du projet Galline-Salengro le terrain sportif de proximité a été déplacé sur un site provisoire rue Schmidt, pour quel délai ?

Déplacement non concerté avec les riverains et habitants qui ont subi cet été des nuisances continues du fait de la concentration la nuit de groupes de jeunes.

Déplacement précipité avec un revêtement non-conforme, des barrières inefficaces pour fermer le terrain la nuit et éviter les intrusions et surtout l’absence de patrouille de la police municipale et de caméra de vidéo protection pour sécuriser le site.

Scénario subi aussi cet été par les riverains du square de la Roseraie avenue Marc Sangnier : nuisances sonores, feux d’artifices, rodéos de scooters, agressions verbales, consommation d’alcool…

Monsieur le maire,

Nous ne pouvons que déplorer le manque de volonté de votre part à régler la sécurité des espaces publics de proximité, des jardins et squares de Villeurbanne. Ce n’est pas le rôle d’une société de gardiennage mais la mission d’une police municipale !

Hélas, votre majorité municipale ne fait pas de la sécurité de nos concitoyens une priorité : des effectifs de policiers municipaux insuffisants pour une ville de 140 000 habitants, absents le soir et la nuit, non armés, ne disposant pas pour faciliter leur mission d’un réseau de vidéoprotection.

Monsieur le Maire, il est temps de réagir devant cette insécurité quotidienne que vivent les Villeurbannais dans tous les quartiers !

L’action doit désormais remplacer l’immobilisme.

Je vous remercie de votre attention.

Intervention au conseil municipal du 19 novembre 2012 sur le campus de la Doua


Monsieur le maire, chers collègues,

Vous nous présentez ce soir une convention de partenariat entre la ville de Villeurbanne et l'université de Lyon dans le cadre du projet de Lyon Cité Campus.
Ce projet consiste à moderniser, développer et aménager le campus de la doua, en favorisant ses relations avec le monde économique et son intégration dans la ville.
L'ensemble des élus de notre assemblée ne peut que se féliciter de ce projet ambitieux qui va profondément transformer notre campus.
Il est à noter la sobriété avec laquelle vous rappeler que le projet de Lyon Cité Campus s'inscrit dans la démarche du plan campus "retenue par l'Etat".
Il est vrai que ce plan campus voulu par Nicolas Sarkozy et mis en chantier par Valérie Pécresse a été combattu au parlement par les élus socialistes.
Gérard Collomb a lui défendu avec détermination les campus de l'agglomération au moment des arbitrages pilotés par Valérie Pécresse. A l'époque, les observateurs avaient noté le peu d'empressement de la municipalité de Villeurbanne. Chacun se souvient de l'épisode du déplacement de Valérie Pécresse dans l'agglomération.
Aujourd'hui, ce projet est défendu par tous : tant mieux pour la Doua, tant mieux pour Villeurbanne !
Je vous remercie de votre attention.