Article du Progrès du 17 juillet 2013


Article de LYON CAPITALE du 17 juillet 2013


Article de LYON MAG du 16 juillet 2013


Communiqué de presse du 16 Juillet 2013 : « 14 Juillet : Retour sur un week-end de dégradations »

 

Depuis plusieurs jours, les nuits villeurbannaises sont le théâtre d’incendies, de tirs de mortiers et de dégradations dans les différents quartiers de la ville comme au centre ville.
Après des années de laxisme, monsieur le maire et son adjoint découvrent qu’il existe une insécurité la nuit à Villeurbanne !
La municipalité socialiste parle d’incivilités, de situation tendue et de désœuvrement et propose  de repousser ( enfin ! ) les patrouilles de police municipale à 2h du matin et de renforcer la présence de médiateurs…
En réalité ce sont des actes de délinquance auxquels on doit apporter une réponse policière et judiciaire !
Pour Jean-Paul Bret et sa majorité municipale, la sécurité de nos concitoyens n’est pas une priorité : des effectifs de policiers municipaux insuffisants pour une ville de 150 000 habitants, absents le soir et la nuit, non armés, ne disposant pas pour faciliter leur mission d’un réseau de vidéo-protection.
Les Villeurbannais ne doivent plus payer le prix du laxisme de la municipalité socialiste.
La souffrance et l’inquiétude des villeurbannais ont trop longtemps été méprisées.
Notre ville et nos concitoyens ont droit à la sécurité pour leur famille et à la tranquillité publique, de nuit comme de jour.
Cette volonté politique, nous la porterons en offrant aux villeurbannais un pacte de sécurité avec une police municipale nombreuse, présente jour et nuit, dans tous les quartiers, armée, en partenariat avec la police nationale, et utilisant les outils modernes de la vidéo protection.
C’est le devoir d’une municipalité que de protéger les biens et les personnes.
 
JEAN-WILFRIED MARTIN
Tête de liste UMP aux élections municipales 2014

4ème intervention sur le commerce de centre ville au conseil municipal de Villeurbanne du 8 juillet 2013


Monsieur le maire, chers collègues,
Vous nous proposez de voter une attribution de subvention à la SVU pour le management du centre ville.
Tous les élus de notre conseil ne peuvent qu'approuver toutes les démarches pour revitaliser le commerce de notre centre ville à travers le dispositif " Destination Gratte ciel ". Il est heureux que vous vous engagez dans un partenariat. C'est un début qu'il faut renforcer et améliorer dans le cadre d'une vrai concertation en prenant en compte les inquiétudes et les propositions des acteurs économiques du centre ville que sont les commerçants et artisans. La piétonisation de l'avenue Henri Barbusse symbolise la nécessité de dialogue et d'écoute des commerçants :
-avec l'extension de la piétonisation à 3 mois sans concertation constructive
-avec le déplacement des nuisances des mariages du samedi au vendredi, sans solution
-avec un aménagement lors de la piétonisation, de bric et de broc, sans réelle identité d'ensemble
Une question : à quoi correspondent les 37 000 euros affectés à la DM pour la scénographie de la piétonisation ?
Ces trois mois de piétonisation ressemble plutôt à un expédiant qui ne règle aucun des problèmes rencontrés par notre centre ville.
A quand une vrai réflexion sur l'espace partagé aux Gratte ciel, sans attendre la fin lointaine du serpent de mer qu'est devenu le projet de ZAC Gratte ciel centre.
Il y a urgence !
Quant à la vitalité du commerce de proximité de Villeurbanne. Les résultats de la 9ème enquête consommateurs ne sont pas optimistes.
Rien d'étonnant !
Comment faire vivre le commerce à Villeurbanne et notamment au centre ville, coincé entre la Part Dieu et le carré de soie ?
Ceci, monsieur le maire, est votre échec politique au Grand Lyon pour ne pas avoir défendu Villeurbanne face à la toute puissance de Gérard Colomb et de son projet de carré de soie.
Une anticipation à la future métropole ?
La question reste posée !
Je vous remercie de votre attention.
Régis LACOSTE
Groupe UMP

3ème intervention sur la subvention du VHA au conseil municipal de Villeurbanne du 8 juillet 2013


Monsieur le maire, chers collègues,
Vous nous proposez ce soir de voter une avance sur subvention au VHA pour la saison 2013-2014.
Nous ne pouvons qu'approuver cette avance de subvention envers un club dont les résultats sportifs n'ont pas démérité cette saison permettant de monter en D2.
Cependant la situation financière aurait mérité un autre traitement de la municipalité. La confusion reste grande sur votre positionnement quand on lit le Progrès de ce matin ou votre directeur général des services annonce de façon énigmatique un soutien de principe suite aux difficultés rencontrées par le VHA pour convaincre sa fédération de sa capacité à évoluer en D2.
Comment comprendre que la ville subventionne à hauteur de 92 000 euros le camp de basket de Tony Parker et qu'un club comme le VHA ne soit pas soutenu à la hauteur de ses résultats sportifs, hélas, peu relayés par la ville et VIVA, malgré une vocation sociale et éducative réelle auprès des jeunes villeurbannais.
Il est temps de changer de politique sportive à Villeurbanne et de mettre fin aux différences de traitement entre les clubs et associations sportives.
Le sport pour tous doit en être la ligne directrice.
Je vous remercie de votre attention.
Régis LACOSTE
Groupe UMP

Article du Progrès du 10 juillet 2013


Rythmes scolaires : des divergences autour d’une « réforme d’excellence »

Education. Lundi soir, le conseil municipal a voté la création de six postes d’animateur territorial. Leur mission d’ici à septembre 2014 : articuler les temps scolaire, périscolaire et les tout nouveaux ALAé (Accueils de loisir associés à l’école).


A chaque réforme son acronyme. Le voici : ALAé, pour « Accueils de loisir associés à l’école », un dispositif qui sera mis en place, en 2014, par la municipalité pour répondre aux obligations de la réforme des rythmes scolaires.
Réuni lundi soir en séance publique, le conseil municipal a voté, sans toutefois les voix de l’UMP, qui s’est abstenue, la création de six postes d’animateur territorial. Leur principale mission sera d’organiser, durant l’année 2013-2014 et sur chacun des secteurs dont ils auront la charge, l’articulation entre les temps scolaire, périscolaire et les ALAé.
La Ville a d’ores et déjà fait des propositions, désormais soumises à l’approbation du Dasen (Directeur académique des services de l’Education nationale). Quelles sont-elles ? Le mercredi matin serait « travaillé ». Les quatre autres jours de la semaine, la journée de classe s’achèverait à 15 h 45. Un accueil, gratuit, serait proposé jusqu’à 16 h 30, puis une étude jusqu’à 18 heures (17 h 45 aujourd’hui).
Une participation serait demandée aux familles, calculée sur le même mode que celui de la restauration scolaire. Aujourd’hui, les études dites « à thème » (avec l’Usep notamment) sont déjà payantes. Enfin, les ALAé sont susceptibles de bénéficier de cofinancement de la CAF. « Et si la CAF ne finance pas, que ferez-vous ? », a interrogé Régis Lacoste. Le conseiller UMP avait débuté son intervention en ironisant sur « le rétropédalage » imputé au maire, Jean-Paul Bret : « Après avoir défendu une application dès 2013, vous avez préféré repousser à 2014 », rappelle-t-il, soulignant l’impact d’une réforme « sur l’enfant, les familles, la société toute entière ». Avant lui, Richard Morales (Centristes et démocrates) avait, lui, salué le « retour à la raison » du maire de Villeurbanne et plaidé pour « une réflexion indispensable » afin de mener à bien « une réforme d’excellence ».

« Il faut se donner le temps, c’est compliqué... »

Les Verts, quant à eux, commenteront sur plusieurs plans : sur la concertation, jugée insuffisante, sur « l’égalité d’accès » aux ALAé (payant, pas payant ?) et la question de la « continuité du service public de l’éducation », sur un service de restauration scolaire le mercredi midi. « Nous soutiendrons l’incontestable effort budgétaire à venir », conclut Jean-Claude-Ray.
Pour le groupe communiste et républicain, cet « investissement dans l’école républicaine en vaut la chandelle, même si tout n’est pas parfait ni acquis, en terme de financement notamment », souligne Marc Ambrogelly. En guise de réponse, Jean-Paul Bret a rappelé la création d’un comité de suivi, dans lequel toutes les écoles sont représentées, les réunions avec les parents d’élèves et l’éducation populaire. Et le maire de souligner « des incertitudes, qui vont se lever progressivement. Combien d’enfants seront inscrits après 15 h 45 ? Et de 16 h 30 à 18 heures ? Il n’y a pas de partition écrite à l’avance ».
Concernant l’ouverture des restaurants le mercredi midi, Jean-Paul Bret joue la prudence : « Il faut se donner le temps, c’est compliqué. Les conséquences en terme de ressources humaines ne sont pas négligeables. Le service public de restauration scolaire n’est pas un droit inaliénable. » Il évoque l’idée d’un repas tiré du sac et encadré pour les enfants qui suivent des activités avec l’Usep ou les centres sociaux l’après-midi. « Les réponses se trouveront progressivement. Nous créons six postes en juin 2013 pour un dispositif opérationnel en 2014, cela montre de notre part une vraie capacité d’organisation », conclut le maire.
E. B.

Article de LYON MAG du 11 juillet 2013


Le Tony Parker Camp ne fait pas l’unanimité chez les élus de Villeurbanne

En effet, lundi, le conseil municipal de la ville devait approuver une subvention de 92 000 euros à l'Insa de Lyon, qui accueille l'événement sur son site de La Doua.
Les élus de l'opposition n'y sont pas favorables. Régis Lacoste, conseiller municipal UMP, déclare qu'il s'agit d'"une manifestation payante pour une poignée de privilégiés".
En tout cas, la deuxième édition du Tony Parker Camp pour jeunes basketteurs en herbe aura lieu du 22 au 28 juillet. Il est ouvert aux licenciés FFBB, dans trois sections distinctes : les 11-13 ans (80 jeunes attendus), les 13-17 ans (120 jeunes attendus) et les 17-20 ans (80 jeunes attendus). Tony Parker sera là pour livrer ses conseils. La semaine de stage coûte 495 euros. Tous les renseignements sont à retrouver sur le www.tp9.net/parker-camp.

2ème intervention sur la réforme des rythmes scolaires au conseil municipal de Villeurbanne du 8 juillet 2013


Monsieur le maire, chers collègues,

Vous nous proposez de voter la création de 6 postes d’animateurs territoriales périscolaires en prévision de la réforme des rythmes scolaires pour la rentrée 2014.

En quelques mois, quel changement d’attitude de votre part !

Après avoir défendu contre vent et marée l’application de la réforme des rythmes scolaires à Villeurbanne dès la rentrée 2013 sans concertation ni dialogue, vous avez préféré jeter l’éponge et repousser à la rentrée 2014 cette modification profonde du temps scolaire.

Quel rétropédalage digne de rentrer dans les annales !

Il est vrai qu’à  un an des échéances municipales, devant le mécontentement du monde enseignent et des parents d’élèves, il aurait été dangereux de s’entêter !

Entre soutenir les réformes du gouvernement socialiste et devenir une victime collatérale du frénétique monsieur Peillon, vous avez fait rapidement votre choix !

En un an, monsieur Peillon est devenu un vrai phénomène de farce politique : annonces tonitruantes, couacs, rappel à l’ordre du Premier ministre et du Président, créateur universel de fonctionnaire, 1er dépensier de l’Etat, ministre préféré de la cour des comptes… et j’en passe et des meilleurs.

Derrière ce paravent médiatique se cache une réalité politique : l’avenir de l’école de la République et de nos enfants.

Faire passer par décret la réforme des rythmes scolaires contre l'avis du conseil supérieur de l'éducation et devant l'inquiétude légitime des collectivités locales est symptomatique du refus de monsieur Peillon de dialoguer avec la société civile.

Cette réforme des rythmes scolaires concerne pourtant plus de 6 millions d'écoliers, leurs parents ainsi que des milliers de professeurs, et son impact va au delà de l'école, car la semaine scolaire détermine le rythme de vie et de travail de toute la société. La réforme aurait pu s'inscrire dans une réflexion globale sur le temps scolaire en réfléchissant à la durée des vacances scolaires.

La réforme de monsieur Peillon représenta AUSSI un transfert non financé de charges financières vers les collectivités locales. La prise en charge des activités périscolaires par les collectivités locales au moment ou les dotations de l'Etat se réduisent a un impact direct sur le budget municipal. Le cout de la réforme de 150 euros par élèves ne sera pas compensé par le fond de soutien. Sauf à faire payer les parents d'élèves, les communes devront assurer le financement de la réforme.

Résultat. Nombre de commune ne seront pas en mesure d'appliquer les nouveaux rythmes scolaires dès 2013.

Vous mettez en place des Accueils de loisir associés à l'école susceptible de bénéficier du cofinancement de la CAF. Que sera la charge financière de la ville pour appliquer la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014 ? Celle des parents ? Si la CAF ne cofinance pas, quel sera le coût pour la ville ? Que sera l'encadrement et la qualification des intervenants des temps périscolaires ? Pour quelles activités ? Avec quels partenaires, selon quels critères ?

Nombre de question persiste face à cette réforme dont l'application modifiera en profondeur le temps scolaire, le temps des familles, le temps de la société et les finances de notre ville.

Avec monsieur Peillon, le pouvoir socialiste a encore une fois voulu jouer à l'apprenti sorcier sans mesurer l'impact de ces expériences. En somme, une vrai définition du socialisme !

Je vous remercie de votre attention.

Régis LACOSTE

Groupe UMP

Article du Progrès du 10 juillet 2013


Le camp Tony Parker ne prend pas de points auprès des Verts et de l’UMP
Basket. La subvention de 92 000 € à cet événement est injustifiée aux yeux des deux groupes politiques.



Le camp de basket Tony Parker ou Tony Parker Camp est-il, comme le soutient l’opposition municipale, « une manifestation payante pour une poignée de privilégiés » ? La formule est signée de Régis Lacoste, conseiller municipal UMP, qui a commenté en ces termes la délibération présentée lundi soir en conseil municipal.
Il s’agissait d’approuver l’attribution d’une subvention de 92 000 € à l’Insa de Lyon, qui accueille, pour la seconde année consécutive sur son site de La Doua, ce camp national de basket-ball. Il aura lieu du 22 au 28 juillet prochain et regroupera 280 basketteurs de 11 à 20 ans, français et étrangers. La star de la NBA, Tony Parker, fera le déplacement et les meilleurs entraîneurs de l’Hexagone sont annoncés.
Outre la subvention, la Ville fournira les repas du midi et du soir. L’année dernière, le camp avait accueilli 280 jeunes, dont trente Villeurbannais ; ces derniers seront vingt en 2013. C’est là où le bât blesse aux yeux des groupes politiques qui ont voté contre le rapport : les Verts, UMP et Énergies Villeurbanne. Pour les premiers, qui n’avaient déjà pas voté la délibération l’année dernière, ce camp « n’a aucun rapport avec le Projet sportif local (PSL) ». « Il s’agit d’un camp de vacances organisé par une société privée [« 9 Events », Ndlr], qui ne finance ni l’hébergement, ni le repas », fait remarquer Bruno Bernard, tout en pointant « les 495 € d’inscription par enfant, sans tarif social ». « Nous aurions préféré que cet argent soit utilisé pour l’aide aux vacances en faveur des familles défavorisées, ou pour développer les activités des centres sociaux », conclut le conseiller écologiste. Le communiste Marc Ambrogelly, dont le groupe s’est abstenu sur la subvention, sera plus nuancé, tout en soulignant l’hiatus entre les 92 000 € et les vingt Villeurbannais concernés.
« Un peu d’internationalisme, M. Ambrogelly ! », lui a répondu Jean-Paul Bret. Pour le maire, les réserves exprimées trahissent « une conception aveugle et étriquée ». « On n’a pas honte d’accueillir des gens extérieurs à Villeurbanne ! », en rajoute-t-il. Avant lui, Damien Berthilier, délégué à la Jeunesse, avait rappelé les 750 000 € investis par la commune pour les animations d’été, qui touchent « plus de 10 000 jeunes ».
Actualité oblige, l’adjoint aux Sports a pour sa part évoqué les 180 000 € que Lyon et Givors ont mis sur la table pour accueillir ce week-end le Tour de France… organisé par une société privée. « On a fait le choix du camp Tony Parker pour valoriser Villeurbanne, l’Insa et Lyon 1 », insiste Gilbert-Luc Devinaz, qui considère que les 490 € dont devront s’acquitter les stagiaires sont « dans les prix moyens ». Sans parler, poursuit l’adjoint, « du plaisir et de la joie » qu’auront les jeunes de côtoyer Greg Beugnot, « TP » et autre Arthur Lebœuf.
Quant aux retombées médiatiques, elles ont fait l’objet d’une traduction financière après le camp 2012 : soit 340 000 €, selon Jean-Paul Bret.
Le camp 2013 aura lieu du 22 au 28 juillet
E. B.

1ère intervention sur la subvention au camp Tony Parker au conseil municipal du 8 juillet 2013


Monsieur le maire, chers collègues,

Vous proposez au vote du conseil municipal de ce soir, une convention entre la ville et l'INSA pour accueillir le camp de Basket Tony Parker. Pour la 2ème année consécutive, ce camp national de basket se déroulera dans les locaux de l'INSA.

Chacun ne peut que se réjouir de l'organisation de cette manifestation sportive pour un public de jeunes passionnés sur le campus de la doua valorisant à la fois notre ville et son campus.

Cependant comme l'année dernière, nous ne pouvons accepter cette convention qui consiste à allouer une subvention de 92 000 euros pour un événement géré et organisé par la société privé "9 events". Par cette convention, les contribuables villeurbannais vont donc financer une manifestation payante qui ne profitera qu'à une poignée de jeunes villeurbannais !

Alors que de nombreux clubs sportifs villeurbannais se battent pour la survie de leur club et de leur équipement, malgré des résultats sportifs élogieux comme le VHA, profitant eux à des milliers de villeurbannais, votre majorité préfère soutenir financièrement une manifestation géré par une entreprise privée.

Monsieur le maire, la ville n'as pas vocation à être un sponsor privé privilégié mais un fer de lance du sport pour tous.

C'est notre conception, ce n'est pas votre priorité au détriment de l'intérêt des Villeurbannais et des associations sportives de notre ville.

Je vous remercie de votre attention.

Régis LACOSTE

Groupe UMP

Communiqué de Nicolas SARKOZY

A la suite de la décision du Conseil Constitutionnel, le premier parti d’opposition de France qui a contribué à rassembler il y un an près d’un Français sur deux ne bénéficiera d’aucun remboursement public.
Un principe nouveau a donc été mis en œuvre : pour un dépassement, que nous avons contesté, de 400 000 euros soit 2.1 % du compte de campagne s’applique une sanction de 100% soit 11 millions d’euros.
Toutes les formations politiques ont été remboursées par l’Etat à l’exception de l’UMP.
Cette situation inédite sous la Vème République met en péril la formation qui doit préparer l’alternance tellement nécessaire au socialisme.
Au-delà de la seule UMP, cet état de fait doit concerner tous ceux qui sont attachés au pluralisme.
Je dois assumer mes responsabilités en m’engageant pour la garantie d’une expression démocratique libre dans notre pays. Je vous demande de m’aider en vous mobilisant, comme je vais le faire, à cette fin.
 
Nicolas SARKOZY