Convention sur la famille - Discours de Jean-François Copé


La Cour des Comptes rappelle à François Hollande que l’économie n’est pas l’ennemi à abattre

Le rapport qu’a rendu hier la Cour des Comptes sur le marché du travail est une bonne et une mauvaise nouvelle.

C’est une bonne nouvelle, parce qu’une institution que l’on ne peut soupçonner de partialité rejoint le constat fait depuis longtemps par l’UMP : le programme de François Hollande n’est pas à la hauteur des enjeux en matière d’emplois. Nous avions déjà fait l’expérience des contrats aidés dans le secteur non-marchand. La Cour des Comptes souligne qu’ils n’ont «pas permis d’obtenir des résultats satisfaisants en termes d’insertion durable dans l’emploi». Les jeunes sortent trop souvent de ces contrats sans qualification, sans formation et donc sans meilleur avenir.

La mauvaise nouvelle, c’est que l’on perd chaque jour plus de temps. François Hollande persiste à mettre en œuvre des dispositifs coûteux et inutiles. Notre économie réclame des entrepreneurs qui créent de la valeur et des salariés qualifiés qui se forment tout au long de leur vie. Mais le Gouvernement persiste à favoriser l’assistanat et à se concentrer sur le secteur non-marchand.

Depuis qu’il a été élu, le Président agit comme si l’économie n’entrait pas dans son périmètre d’action, ou pire, comme si les entreprises étaient les ennemies. Et depuis qu’il a été élu, 1000 personnes supplémentaires sont touchées par le chômage chaque jour.

Salima SAA
Secrétaire nationale de l’UMP

Vous avez dit inversion des courbes ?

Depuis plusieurs mois le gouvernement affirme qu’avec les contrats d’avenir, les contrats intergénérationnels, il va créer massivement des emplois, et se gausse de l’opposition qui dénonce d’absence de vraie politique entrepreneuriale.

Le 31 décembre, pour ses vœux, François HOLLANDE annonçait pour 2013, l’inversion de la courbe du chômage grâce à la politique, ô combien efficace, qu’il conduit…

Patatras ! Deux semaines plus tard, l’UNEDIC publie ses prévisions pour 2013 : 180.000 chômeurs de plus dans l’année et un déficit de l’assurance chômage qui passe de 2,7 milliards d’euros en 2012 à 5 milliards en 2013 !

Jusqu’à preuve du contraire, l’UNEDIC n’étant pas une sous-section de l’UMP, ses prévisions ne sont pas partisanes…

Ecraser les entreprises et les particuliers d’impôts et taxes, décourager les investisseurs étrangers et nationaux, stigmatiser ceux qui créent, qui innovent, qui réussissent, voilà les remèdes socialistes pour sortir du chômage ?

Des vœux, des incantations, ça peut être sympathique, mais au final, cela rajoute du drame au drame…

Et si l’on changeait de politique économique pour soutenir la production, la compétitivité, la création de richesses et d’emplois ?

Roger Karoutchi
Sénateur des Hauts-de-Seine
Conseiller politique de l’UMP

UMP - Présentation de l'équipe dirigeante


Article du Progrès du 15 janvier 2013

Jean-François Copé apporte son soutien à la décision prise par le président Hollande d’engager les forces françaises au Mali

Jean-François Copé, président de l’UMP, apporte son soutien à la décision prise par le président Hollande d’engager les forces françaises au Mali afin d’entraver l’établissement d’un Etat narcoterroriste. Il était grand temps d’agir.

L’intervention de l’armée française se fait dans une parfaite légalité internationale. La France se montre fidèle à ses valeurs universelles, celles-là mêmes qui ont justifié l’intervention en Afghanistan contre l’extrémisme, le fanatisme, le terrorisme et en faveur de la paix et de la sécurité internationales.

Le Premier ministre et le président de l’UMP se sont entretenus par téléphone. A cette occasion, Jean-François Copé a insisté pour que le Parlement soit pleinement informé de l’évolution de la situation, conformément à la réforme constitutionnelle de juillet 2008.

Jean-François Copé, au nom de l’UMP, a une pensée toute particulière pour les otages et leurs familles qui vivent un moment particulièrement éprouvant ainsi que pour nos ressortissants établis au Mali. Leur sécurité doit être une priorité.

Voeux de l'UMP du Rhône à Villeurbanne avec JF Copé

Jean-François Copé à RTL


Jean-François Copé invité de Jean-Michel Aphatie par rtl-fr

Récépissé de contrôle d'identité : couac « flicophobe » du Ministre de la Ville

Depuis plusieurs mois, Manuel Valls, Ministre de l'Intérieur, rassure les syndicats de policiers en affirmant avoir abandonné l'idée de la remise d'un récépissé lors d'un contrôle d'identité par les policiers ou les gendarmes. En contrepartie, encore hier publiquement lors de vœux syndicaux, il demande le port d'un numéro de matricule sur l'uniforme.

Mardi soir, lors de ses vœux à Clichy-sous-Bois, François Lamy, Ministre de la Ville a affirmé être favorable à l'expérimentation du récépissé lors des contrôles de police comme l'un des outils possible de lutte contre « les contrôles d'identité à répétition et au faciès ».

Bruno Beschizza, Secrétaire National de l'UMP, dénonce avec vigueur cette nouvelle mise en accusation publique des forces de l'ordre. Monsieur Lamy a encore cédé aux vieux réflexes « flicophobes » socialistes quand celui-ci est en présence d'associations « amies ».

Bruno Beschizza s'interroge sur le double discours du gouvernement sur ce sujet qui entretient un climat de suspicion permanente sur le travail rendu par les forces de l'ordre de notre pays. Qui doit-on croire ? Manuel Valls ou François Lamy ?

Face à ce nouveau couac gouvernemental, Bruno Beschizza demande au Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, d'affirmer publiquement la position du gouvernement afin qu'une fois pour toutes cesse ce doute permanent dont les premières victimes sont nos policiers et nos gendarmes.

Bruno Beschizza
Secrétaire national de l'UMP

Quand une ministre louait le mariage homo dans un collège


En visite dans une école du Loiret en octobre, Najat Vallaud-Belkacem présentait le mariage homosexuel comme «une avancée». La porte-parole du gouvernement se défend aujourd'hui de tout «prosélytisme».

La consigne de Vincent Peillon, qui a jugé hier qu'il ne lui semblait pas «opportun» d'importer dans le débat sur le mariage gay à l'école, n'a pas toujours été scrupuleusement respectée par les membres du gouvernement, souligne-t-on chez les opposants à ce projet de loi.
Lors d'une visite dans un collège du Loiret cet automne, la ministre du Droit des Femmes, Najat-Vallaud Belkacem, a présenté le «mariage pour tous» comme une «avancée». «Cela va permettre plus d'épanouissement. Plus de liberté. Plus d'égalité dans la société», a-t-elle dit à une assistance d'une dizaine de collégiens dans le cadre d'une action de sensibilisation à la lutte contre l'homophobie, selon des images prises par BFMTV.

Peillon recadre Belkacem... Encore un Couac !


Voitures brûlées : Transparence à géométrie variable du Ministre de l'Intérieur

Bruno Beschizza, Secrétaire national de l'UMP en charge de l'Emploi des forces de sécurité, tient avant tout à féliciter l'ensemble des forces de l'ordre - policiers nationaux, gendarmes et policiers municipaux - ayant contribué à garder un caractère festif aux différentes manifestations de la nuit de la Saint Sylvestre.

Le Ministre de l'Intérieur, a pris le risque de réinitier les compétitions entre quartiers et entre bandes rivales qui traditionnellement jouent "à celui qui brûlera le plus de véhicules". À ce jeu de pompier pyromane, Manuel Valls a donc rendu public, une augmentation, mais surtout une liste détaillée par département du nombre de véhicules brûlés alors que sur le terrain, les forces de l'ordre savent très bien les conséquences de ce type de "classement"...

Bruno Beschizza tient surtout à dénoncer le double discours du Ministre de l'Intérieur qui consiste à révéler le nombre de véhicules brûlés alors même que les chiffres de la délinquance du mois de Novembre ne sont toujours pas publiés. Les chiffres de la délinquance sont-ils cachés ? La "transparence" en tant qu'axe majeur de communication a donc ses limites.

Bruno Beschizza exige du Ministre de l'Intérieur une véritable transparence. Les Français ont le droit de savoir le nombre d'entre eux qui subissent l'explosion du nombre des atteintes aux personnes depuis le mois de Novembre, dont la responsabilité incombe en grande partie à la politique pénale mise en œuvre par le Garde des Sceaux : fin des peines planchers, numerus closus dans les prisons, rétablissement de la culture de l'excuse...

Dans ce même esprit, il serait intéressant de révéler à la presse quelles seront les suites judiciaires données aux 399 interpellés de cette nuit. Combien en effet seront réellement amenés à faire face à leur responsabilité pénale pour leurs actes ?