Taxation des heures supplémentaires : symbole d'une gauche qui veut taxer le travail et aggraver notre déficit de compétitivité

1. Taxation des heures supplémentaires : symbole du matraquage fiscal des classes moyennes programmé par la gauche.

L'injustice est au cœur de la loi de finances rectificative : pas de baisses de dépenses, augmentations des impôts pour les Français qui travaillent.
  • Taxation des heures supplémentaires : elles vont être de nouveau fiscalisées à compter du 1er juillet, et c'est seulement grâce à l'opposition que la majorité socialiste ne va pas rendre pas ce dispositif rétroactif. C'est 8 millions de salariés qui vont perdre 500 euros par an, sans que cela crée d'emplois comme le gouvernement le prétend : on nous refait le coup des 35h !
  • Doublement du forfait social sur l'épargne salariale : il passe de 8% à 20% et s'appliquerait aux sommes versées par les entreprises aux salariés, notamment au titre de l'intéressement et de la participation, qui seront diminuées du montant de l'augmentation de la taxe. Cette hausse frappera directement près de 9 millions de salariés.
2. Abrogation de la fiscalité anti-délocalisation ou comment aggraver notre déficit de compétitivité à l'heure où la cote d'alerte est dépassée pour notre industrie.

L'annonce de la fermeture de l'usine PSA à Aulnay nous rappelle que le coût du travail est trop élevé en France. Pourtant, la majorité socialiste ne fait qu'alourdir encore ce coût du travail, tout en supprimant la TVA anti-délocalisation. Par idéologie antisarkozyste, le gouvernement prend des décisions contre la compétitivité et le retour de la croissance !